Les procès à Bakou en Azerbaïdjan ont pour but de nier l’autodétermination de l’Artsakh… : A.C.A.

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Les procès fictifs en Azerbaïdjan visent à porter atteinte au droit de l’Artsakh à l’autodétermination

Un tribunal de Bakou a repris le procès à connotation politique de Ruben Vardanyan, ancien ministre d’État du Haut-Karabakh (Artsakh). Vardanyan était accusé de fausses accusations, notamment de « financement du terrorisme » et d’« entrée illégale » en Artsakh, que lui-même et les experts ont fermement rejetées. Le procès, largement considéré comme une mascarade à motivation politique, était distinct de ceux d’autres dirigeants détenus en Artsakh, tels que d’anciens présidents et commandants militaires. Luis Moreno Ocampo, ancien procureur en chef de la CPI, a condamné ces accusations comme étant sans fondement, suggérant qu’elles faisaient partie des efforts de l’Azerbaïdjan pour dissimuler ses propres crimes dans la région.

Les procureurs azerbaïdjanais ont intensifié leurs accusations, notamment un complot présumé visant à assassiner des diplomates azerbaïdjanais à l’étranger. Ces procès ont fait suite à l’attaque de l’Artsakh par l’Azerbaïdjan en septembre 2023, qui a déplacé toute sa population arménienne. Les experts juridiques ont fait valoir que ces procès n’étaient pas seulement des vendettas personnelles, mais faisaient partie d’une stratégie plus large visant à délégitimer le droit de l’Artsakh à l’autodétermination.

Lors de ces procès à huis clos, de nouvelles accusations ont été portées contre les dirigeants de l’Artsakh. Lire la suite…

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Le procès organisé par l’Azerbaïdjan contre des Arméniens : un outil politique contre l’Arménie

Le ministère arménien des Affaires étrangères a publié une déclaration concernant le « procès » en Azerbaïdjan de prisonniers de guerre, d’otages et de détenus arméniens. La déclaration met en évidence les informations faisant état de tortures et de détérioration de l’état de santé des détenus, notamment de Ruben Vardanyan, actuellement en grève de la faim.

L’agence de presse Novosti-Arménie fournit le texte intégral de la déclaration :

« Le ministère des Affaires étrangères de la République d’Arménie continue d’attirer l’attention de la communauté internationale, en particulier des partenaires engagés en faveur de la paix régionale et des valeurs humanitaires, sur la question de la détention illégale de prisonniers de guerre, d’otages et d’autres détenus arméniens en Azerbaïdjan. En outre, nous soulignons les procès truqués menés contre certains d’entre eux, qui comportent de graves violations de procédure et des indications claires de torture.

Des publications, notamment des vidéos et des photographies des prétendus procès de 23 prisonniers de guerre arméniens et d’autres détenus, ainsi que des déclarations de leurs représentants légaux, dont l’avocat de Ruben Vardanyan, soulignent de graves inquiétudes concernant les mauvais traitements, la torture et la grave détérioration de l’état de santé des détenus. Lire la suite…

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Les massacres de Soumgaït en 1988 ont marqué le début d’atrocités à grande échelle contre les Arméniens : ministère des Affaires étrangères

À l’occasion du 37e anniversaire des pogroms arméniens de Soumgaït, en Azerbaïdjan, le ministère arménien des Affaires étrangères a publié une déclaration appelant à des efforts pour surmonter l’hostilité afin d’empêcher que de telles tragédies ne se reproduisent.

« Du 27 au 29 février 1988, une série de crimes ont été commis à Soumgaït, en Azerbaïdjan, marquant le début de pogroms à grande échelle contre la population arménienne. Ces attaques, clairement organisées et soutenues par l’État, ont transformé des décennies d’oppression et de persécution en une violence ouverte et systématique », peut-on lire dans le communiqué.

Le ministère des Affaires étrangères a rappelé que les massacres et les tortures contre les Arméniens, qui ont commencé à Soumgaït, se sont poursuivis avec la même brutalité à Bakou, Kirovabad et Maragha.

« À la suite de ces événements, des centaines d’Arméniens ont été tués et environ un demi-million de personnes ont été déplacées de force. Le cycle de politiques violentes a persisté jusqu’en septembre 2023, lorsque la population arménienne du Haut-Karabakh a été confrontée à un nettoyage ethnique complet », souligne le communiqué. Lire la suite…

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