6 questions-réponses d’un Premier ministre , et les réponses de la rédaction de NHM

Sur sa page Facebook,le Premier ministre  arménien Pachinyan a répondu à six qustions qu'il s'est posées:  1-Q ; A quoi sert cette guerre ?     R ; Consolider le statut de l'Artsakh. 2-Q : Aurions-nous pu éviter cette guerre ?     R ; Oui, si nous rendions les territoires et acceptions le statut incertain de l'Artsakh, pour une          periode indeterminée, en l'absence d'un processus  établi. 3-Q ; Pourrions nous parvenir  a un statut satisfaisant pour l'Artsakh par le biais de négociations ?     R…

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Le Haut- Karabagh est arménien , la région « Azerbaïdjan » était en Iran , le pays « Azerbaïdjan » date de 1936

L'historien russe Alexander Cheromin : Le Karabakh (Artsakh) est la terre arménienne d'origine. Vérité et faits historiques. L'Azerbaïdjan et aucun autre pays n'ont de droits sur cette terre arménienne, selon un célèbre historien russe. Si vous regardez l'histoire d'Erevan, qui a été fondée en 782 avant Noël, et étudiez ses monuments architecturaux, il devient clair que des monuments similaires sont restés au Haut-Karabakh, au lac de Van et dans le district de Karsa – nous voyons partout une culture , une archéologie, une langue, une foi. C'est la base de…

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Artsakh (Nagorny / Haut Karabagh) (2) : comment on en est arrivé là …

La situation s’envenime en février 1988, quand le parlement de la région vote son rattachement à l’Arménie. Des combattants armés arméniens causent la mort de deux Azéris et provoquent la fuite de milliers de familles. L’incident est enflammé en Azerbaïdjan, à Soumgaït, où les Arméniens sont pourchassés pendant trois jours jusqu’à ce que l’Armée rouge vienne rétablir l’ordre. Le pogrom de Soumgaït est un pogrom causant la mort de civils arméniens dans la ville de Soumgaït (en azéri Sumqayıt) en République socialiste soviétique d'Azerbaïdjan (en URSS) le 27 février 1988 au tout début de la guerre du Haut-Karabagh. Le nombre officiel de victimes fourni par les autorités s'élève à 30 personnes civiles.…

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Les successeurs d’Attila

Le 3 avril dernier, le Fidesz, le parti de Viktor Orban a  emporté les élections législatives en Hongrie. L'aspect inquiétant de Viktor Orban  n'est pas seulement son europhobie et son opposition aux critères démocra- tiques de l'Union Européenne mais son ralliement au  Conseil de l'Organisation des Etats turcs (*), fondé par R.T. Erdogan, permettant l'accès en Europe de l'idéologie "Synthèse turco-islamiste". Les liens de sang et de langue turco-magyar sont  discutés dans les cercles universitaires. De plus, Attila, l'empereur hun, qui a terrorisé l'Europe au Ve siècle, est admis comme un anctre d'honneur par…

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