L’Ararat n’est plus arménien (sur les passeports), le génocide n’est toujours pas endossé par le gouvernement turc…

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Les représentants spéciaux , le turc Serdar Kılıç et l'arménien Roupen Roupinyan

se sont mis d'accord  pour accélérer le processus d'ouverture des frontières entre

les deux pays.

Mais, la FRA (tachnagtsoutioun) l'antagoniste éternelle avance des objections

jusqu' à traiter la rencontre d'acte de trahison.

En 2008 lorsque le président Sarkissyan avait tenté  de normaliser les relations

avec Ankara dans le cadre de la diplomatie de football, la FRA s'était également 

opposée.

La FRA exige dans l'immédiat reconnaissance et réparation pour le genocide.

En 2025, un jeune tachnag dit "Non au deni" et un autre condamne  "les tentatives 

d'établir  la paix sur un sang qui n'est pas encore sèché".

Un édile , membre de la FRA du Conseil municipal d'Erevan, Gor Sarkissyan, 

déclare ; "Il y a des jeunes en Arménie qui ne nient pas le genocide, qui n'oublient

pas le nettoyage ethnique de l'Artsakh".

Jusqu'à présent  des déclarations  des dirigeants étasuniens ou européens étaient

des formules d'encouragements en faveur de l'Arménie qui sans un effet

militaire ou diplomatique concret dans les instances internationales.

L'accord signé le 8 août dernier avec l'Azerbaïdjan, bénéfique ou maléfique,pour

l'Arménie , a au moins le mérite de contenir un document signé  par deux Etats en

litige et une puissance qui agit , il ne faut pas l'oublier, par ses intérêts  afin de

s'installer dans la cour arrière de la Russie.

Imaginons un instant, la FRA  qui accède au pouvoir et lors des négociations avec la

Turquie elle exige la restitution des terres spoliées et la reconnaissance du génocide.

Devant de telles demandes la Turquie se retire des pourparlers  ce qui entraîne de 

nouveaux conflits funestes et de milliers victimes  avec  la fermeture totale des 

frontières rendant le pays en un îlot entouré de voisins hostiles attendant de 

l'anéantir.

Aucun Arménien, membre ou non de la FRA, ne peut nier le genocide et ne le

niera . Mais actuellement en position de vaincu, l'Etat arménien ne peut en faire  un

sujet de négociation.

Viendra le jour où, une Arménie forte sur le plan militaire et économique fera

reconnaître à la Turquie  le génocide arménien et exigera la restitution des terres 

par sa force diplomatique. 

P.S. Par décision gouvernementale  le cachet apposé sur les passeports lors des

passages aux frontières ,le graphique  du Mont Ararat sera retiré et à cette décision

l'opposition crie au scandale et à la trahison.

Mais, pendant la présidence de Robert Kotcharyan où la FRA participait au 

gouvernement, le graphique ne figurait pas sur les cachets.

 

Zaven Gudsuz   zavn471@hotmail.com   (ancien élève des Collèges Mekhitaristes d'Istanbul & de Sèvres)

diplômé d'économie de l'Université de Nantes en France

 

 

 

 

 

Les représentants spéciaux , le turc Serdar Kılıç et l'arménien Roupen Roupinyan

se sont mis d'accord  pour accélérer le processus d'ouverture des frontières entre

les deux pays.

Mais, la FRA (tachnagtsoutioun) l'antagoniste éternelle avance des objections

jusqu' à traiter la rencontre d'acte de trahison.

En 2008 lorsque le président Sarkissyan avait tenté  de normaliser les relations

avec Ankara dans le cadre de la diplomatie de football, la FRA s'était également 

opposée.

La FRA exige dans l'immédiat reconnaissance et réparation pour le genocide.

En 2025, un jeune tachnag dit "Non au deni" et un autre condamne  "les tentatives 

d'établir  la paix sur un sang qui n'est pas encore sèché".

Un édile , membre de la FRA du Conseil municipal d'Erevan, Gor Sarkissyan, 

déclare ; "Il y a des jeunes en Arménie qui ne nient pas le genocide, qui n'oublient

pas le nettoyage ethnique de l'Artsakh".

Jusqu'à présent  des déclarations  des dirigeants étasuniens ou européens étaient

des formules d'encouragements en faveur de l'Arménie qui sans un effet

militaire ou diplomatique concret dans les instances internationales.

L'accord signé le 8 août dernier avec l'Azerbaïdjan, bénéfique ou maléfique,pour

l'Arménie , a au moins le mérite de contenir un document signé  par deux Etats en

litige et une puissance qui agit , il ne faut pas l'oublier, par ses intérêts  afin de

s'installer dans la cour arrière de la Russie.

Imaginons un instant, la FRA  qui accède au pouvoir et lors des négociations avec la

Turquie elle exige la destitutions des terres spoliées et la reconnaissance du génocide.

Devant de telles demandes la Turquie se retire des pourparlers  ce qui entraîne de 

nouveaux conflits funestes et de milliers victimes  avec  la fermeture totale des 

frontières rendant le pays en un îlot entouré de voisins hostiles attendant de 

l'anéantir.

Aucun Arménien, membre ou non de la FRA, ne peut nier le genocide et ne 

niera, Mais actuellement en position de vaincu, l'Etat armenien ne peut en faire  un

sujet de négociation.

Viendra le jour, une Arménie forte sur le plan militaire et économique  fera

reconnaître à la Turquie  le génocide arménien et exigera la restitution des terres 

par sa force diplomatique. 

P.S. Par décision gouvernementale  le cachet apposé sur les passeports lors des

passages aux frontières ,le graphique  du Mont Ararat sera retiré et a cette decision

l'opposition crie au scandale et à la trahison.

Mais, pendant la présidence de Robert Kotcharyan ou la FRA participait au 

gouvernement, le graphique ne figurait pas sur les cachets.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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