Le Cercle exprime ses vives inquiétudes face au risque d’un déséquilibre accru des forces, déjà défavorable à l’Arménie.
« L’Histoire de notre vieux continent européen nous rappelle qu’une paix à tout prix n’est pas le meilleur garant d’une paix durable, et que l’illusion selon lauelle satisfaire l’agresseur calmerait nécessairement ses appétits a été démentie à maintes reprises.
Si nous acceptons cette vérité dans le contexte du conflit russo-ukrainien, nous devons aussi admettre qu’elle s’applique pleinement au conflit du Karabagh – grand absent de la déclaration d’intention pour la paix. » – a indiqué François Pupponi, Président du Cercle d’Amitié France-Artsakh….
source : B.F.
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