Les chercheurs du NICT (National Institute of Information and Communications Technology) ont réussi l’impossible : transmettre des données à une vitesse telle qu’on pourrait télécharger toute la mémoire du web en quelques minutes
Le Japon vient de battre le record mondial de vitesse internet. 1,02 pétabit par seconde.
On ne parle plus de méga, ni de giga, ni de téra, mais bien de peta : un million de milliards de bits chaque seconde. La prouesse technique, l’audace de l’innovation, la promesse d’un futur où chaque octet circule à la vitesse de la lumière…
Le Japon, qui a toujours eu une longueur d’avance sur la technologie, vient de redéfinir les limites du possible. .
Le tout, sur plus de 1 800 kilomètres, avec des câbles optiques de la même taille que ceux qui serpentent déjà sous nos pieds.
Derrière le chiffre, il y a une révolution silencieuse, une onde de choc qui va tout bouleverser.
On vit dans un monde où le temps d’attente, la latence, la frustration de la barre de chargement, sont des irritants quotidiens.
On passe d’une autoroute à une galaxie de données. …
source : Internet à la vitesse de la lumière : le Japon pulvérise tous les records