Il faudra bien que les « non-coupables mais responsables » endossent le génocide, un jour

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Comment la littérature peut aussi éclairer l’Histoire => livre : Moi, Azil Kémal, j’ai tué des Arméniens – Editions Parenthèses (Comment la littérature peut aussi éclairer l’Histoire => livre : Moi, Azil Kémal, j’ai tué des Arméniens – Editions Parenthèses

Moi, Aziz KÉMAL, j'ai tué des Arméniens – Carnets d'un officier turc de l'armée ottomane – Jean-Claude BELFIORE | éditions Parenthèses.

Cet éditeur publie beaucoup de livres sur l'exil, le génocide, l'architecture

Bonne lecture !

source : B.F.

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L'auteur turc de ces carnets retrouvés, époux d'une Arménienne, avec toute la complexité de ses conflits intimes entre destin personnel et devoir d'obéissance. Ou comment la littérature peut aussi éclairer l'Histoire dont le premier massacre ethnique* (qui inspira Hitler , voir son discours de 1933) du xxème siècle .

 

*ce massacre ciblé et à grande échelle :75% des Arméniens périrent en quelques mois en 1915 dans l'empire ottoman ou sur le chemin de l'enfer, le désert syrien, inspire la nécessité de créer un mot qui traduit ces crimes à grande échelle d'une population homogène, pour quelque raison que ce soir.

Ainsi, l'Histoire inspire la langue française et le mot génocide fut inventé. Il fut hélas, rapidement de nouveau utile pour désigner cette ignominie étatique.

 

https://www.editionsparentheses.com/moi-azil-kemal-j-ai-tue-des

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