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Notre Artsakh sacré, vidé des Arméniens (en rouge clair).
Terres arméniennes sous occupation par l'Azerbaïdjan (en rouge foncé).
Trente et un (31) villages sont désormais sous le contrôle des forces d'Aliyev, qui occupent des hauteurs stratégiques le long de toute la frontière orientale de l'Arménie et plusieurs positions adjacentes au Nakhitchevan.
Chaque jour, l'Azerbaïdjan franchit sans relâche les frontières de l'Arménie – exigeant le transfert unilatéral de plusieurs « enclaves », plaques tournantes de transport vitales qui relient l'Arménie sous blocus à la Géorgie et à l'Iran.
Alors que vous lisez cette note, les bulldozers azerbaïdjanais détruisent ce qui reste de notre patrimoine arménien en Artsakh – depuis nos églises sacrées et nos cimetières jusqu'aux sites historiques et même notre Parlement.
Vous savez aussi bien que moi qu'ils feront la même chose en Arménie – si l'occasion se présente.
Ne vous y trompez pas : les Turcs sont déterminés à mettre fin au génocide qu’ils ont commencé en 1915.
À commencer par Syunik. Puis Gegharkunik, Vayots Dzor, Tavush – et finalement Erevan (ou le « Erivan Khanate » de « l’Azerbaïdjan occidental », comme l’appelle Aliyev).
C'est à nous – patriotes de la nation arménienne mondiale – de nous tenir aux côtés de nos frères et sœurs, en tant que deuxième armée de la nation arménienne.
Avec votre aide, nous luttons pour demander des comptes à l'Azerbaïdjan – en appliquant des sanctions, en arrêtant les ventes d'armes, en punissant les criminels de guerre et en ouvrant la voie au retour sûr et durable des Arméniens d'Artsakh dans leurs foyers d'origine.
S'il vous plaît, prenez un moment dès maintenant pour nous aider à garantir que l'Amérique cesse d'armer l'Azerbaïdjan et commence à soutenir la survie de l'Artsakh et la sécurité de l'Arménie.
Sirov,
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