mise à jour du 29/10 2023 matinée
Quel avenir pour le Haut-Karabakh, reconquis par l'Azerbaïdjan ? (radiofrance.fr)
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22/11/2023 0 18h
Sur inscription à la Médiathèque POC d’Alfortville
82 rue Marcel Bourdarias
Tél : 01.43.75.10.01
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http://track.news.
Faustine Vincent
@faustvincent
·L’Azerbaïdjan annonce, photo a l’appui, que le «processus de réintégration commence» pour des Arméniens qui auraient accepté de rester au Haut-Karabakh et de prendre la nationalité azerbaïdjanaise.
Plus de 100 400 habitants ont fui en une semaine. L’enclave est quasiment vide.
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Magazine de Géopolitique : La fin du dollar ? – 100 page
Arménie : l’envol d’un vignoble millénaire, malgré les menaces aux frontières | Sud-Ouest |
LE MONDE CHANGE RADICALEMENT ! – Gérard Chaliand | 
NOUVELLE VIDÉO ! Le monde redevient multipolaire, l'Occident n'est plus tout puissant, nous perdons le contrôle et cédons du terrain à d’autres… | By Élucid | Facebook
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Exercices militaires de Bakou et d’Ankara près de l’Arménie | Les Échos |
Aide humanitaire à Gaza de la Turquie | Libération p.7
https://www.lopinion.fr/intern
Catherine Colonna trop discrète | Le Figaro |
#Scandale !
CinéSérie va bientôt disséminer de la propagande turque 🇹🇷 pour le criminel génocidaire Mustafa Kemal, l’ "influenceur" de Mussolini et Hitler, glorifié dans la série "Atatürk" tournée en Turquie par une équipe turque.🚨Atatürk a fondé la "Turquie moderne" en 1923… pic.twitter.com/CsLko7VoGR
— #ArmenianPride 🇦🇲 (@_Artaxias_) October 22, 2023
Festival International de Musique / Daily Motion
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Mediapart / B.F.
Logiciel espion vendu à l’Egypte, le Vietnam ( communiste), Madagascar et probablement la France.
Voir à la 24 ème minute ,son fonctionnement.
Tests possibles auprès de 2 ONG, pour savoir si son tél est infiltré.
https://youtu.be/L5pTIK7aLOo?s
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JP D.
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——————–Super conférence .
2h25 le 19/10/23 à la Maison de l’Amérique Latine | Jean-Michel Blanquer Le Laboratoire de la République.
https://youtu.be/x0-lwKOJ3aE?s
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JP D.:::
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OTC.
:Le gouvernement arménien a annoncé jeudi 19 octobre qu’il entendait débloquer un budget d’un montant de 30 milliards de drams (75 millions de $) au titre de l’aide au logement des dizaines de milliers d’Arméniens qui ont trouvé refuge en Arménie après avoir été chassés du Haut Karabagh par l’armée azerbaïdjanaise fin septembre. Chacun de ces réfugiés en quête de logement décent devrait recevoir une somme mensuelle de 50 000 drams (125$) afin de lui permettre de payer un loyer et de prendre en charge les dépenses afférentes jusqu’en mars 2024. Le premier ministre arménien Nikol Pachinian s’était engagé à garantir une telle aide durant l’exode massif de plus de 100 000 Arméniens du Karabagh qui avait vidé en quelques jours seulement le territoire contesté de sa population qui avait dû fuir la violente offensive militaire lancée par l’armée azérie le 19 septembre, après un blocus drastique de près de dix mois. Le gouvernement de Pachinian affirme avoir fourni un abri à plus de la moitié de ces réfugiés, dont la plupart sont logés dans des hôtels, des bâtiments publics en friche ou des maisons rurales abandonnées. Il estime que 40 000 de ces réfugiés qui n’ont donc pas été en mesure de se loger, comme beaucoup, chez des proches en Arménie, ou de trouver un logement, devraient faire une demande en vue d’obtenir une telle aide d’ici la fin du mois d’octobre. “Nous encourageons nos compatriotes à louer des appartements”, déclaré Pachinian lors de la réunion hebdomadaire du conseil des ministres à Erevan, en suggérant que les sommes qui leur seront allouées seraient suffisantes pour couvrit leurs dépenses locatives, ce qui reste à prouver, les loyers ayant beaucoup augmenté dans la capitale, mais aussi ailleurs en Arménie, notamment sous l’effet d’une immigration massive de citoyens russes venus dans le pays du Sud Caucase depuis l’année dernière pour fuir la guerre livrée par le président tusse Poutine contre l’Ukraine. Le ministre du travail et des affaires sociales Narek Mkrtchian a apporté quelques précisions à cette annonce, en confirmant qu’à partir du mois de novembre, les réfugiés qui ont un logement en Arménie ou qui continuent à résider dans des abris provisoires mis à leur disposition par le gouvernement ne seront pas éligibles à cette aide financière. Certains réfugiés ont déjà puisé dans leurs modestes économies pour louer un logement à Erevan et dans d’autres localités, où les loyers devenus prohibitifs ne leur permettront sans doute pas de rester dans le pays, comme les y appelle pourtant Pachinian. Pour Suzanna Arzumanian, une mère de deux enfants originaire du Karabagh, qui a dû subir, comme tous les réfugiés, les affres du blocus et les attaques incessantes de l’armée de Bakou, avant de prendre le chemin de l’exode, le parcours dans la « mère patrie » est semé d’embûches, et l’accueil ne semble pas à la hauteur des attentes. L’appartement qu’elle a loué dans le district de Nor Nork, dans les faubourgs de Erevan, ne disposait pas même de lits lorsqu’elle y a emménagé au début du mois. Arzumanian se plaint de ce que malgré les aides maintes fois promises, le gouvernement et les autorités municipales n’aient toujours pas fourni à sa famille les denrées alimentaires, vêtements et autres produits de première nécessité qu’elle attendait. Le gouvernement a approuvé jeudi des règlementations non encore rendues publiques relatives à la distribution de cette aide humanitaire. On ne sait toutefois pas si celle-ci relève de l’assistance aux réfugiés d’un montant d’au moins 35 millions de $ promis par les Etats-unis, l’Union européenne et certains Etats membres de l’Union européenne. L’aide du gouvernement comprend aussi le versement d’une somme globale de 100 000 drams (260$) à chaque réfugié. Des responsables arméniens affirment que 80 % des Arméniens venus du Karabagh avaient déjà perçu cette aide. Mais nombre de ces réfugiés interviewés par le Service arménien de RFE/RL et par d’autres media affirment ne pas en avoir vu la couleur. On ne sait par ailleurs pas si le gouvernement d’Arménie est disposé à verser les retraites et autres prestations sociales dont bénéficiaient les citoyens arméniens de la « République de l’Artsakh », dont la dissolution a été annoncée fin septembre et sera actée au 1er janvier 2024. Des dizaines de réfugiés, pour la plupart âgés, se rendent chaque jour au siège du gouvernement du Karabagh à Erevan pour s’informer au sujet de leurs retraites. “Ils ne veulent rien nous dire ”, se plaint Sergei Mirzoyan, un retraite originaire de Stepanakert, interrogé mercredi, en faisant allusion aux responsables du Karabagh qui sont toujours à leurs postes dans la représentation de l’Artsakh. Il espère qu’il pourra recevoir sa maigre retraite mensuelle de 72 000 drams en Arménie. Pachinian avait invoqué auparavant un “ problème juridique » compromettant de tels paiements, sans préciser jeudi s’ils avaient pu être résolus.
Nouvelles d’Arménie Magazine
20 Octobre 2023
Samvel Shahramanyan a présenté les détails de la rencontre avec un groupe de citoyens déplacés de force du Haut-Karabakh
Le Président du Haut-Karabakh, Samvel Shahramanyan, a présenté les détails de la rencontre avec un groupe de citoyens déplacés de force du Haut-Karabakh.
S’adressant aux participants à l’action de protestation rassemblés près du bâtiment de la représentation du Haut-Karabakh en Arménie, Samvel Shahramanyan a déclaré qu’au cours de la réunion, ils avaient clarifié les principales questions soulevées par un groupe de citoyens.
"La plupart des questions concernaient des questions sociales liées au logement, au travail et au salaire. Toutes les questions ont reçu une réponse dans le cadre de notre compétence. Nous sommes également prêts à inventorier vos questions et à les soumettre aux autorités compétentes. Tout ne dépend pas de nous, mais nous essaierons de résoudre vos questions. À cette fin, nous avons décidé de mettre à disposition ici deux salles et les citoyens qui ont exprimé leur désir de traiter volontairement de vos problèmes auront cette possibilité.
La question suivante est liée à notre avenir politique. Je tiens à m’excuser auprès de tout le monde, mais il y a des questions que je ne pense pas qu’il soit juste de soulever et qui peuvent comporter des dangers pour nous. S’il vous plaît, soyez satisfait de cela" a déclaré le président de l’Artsakh, Samvel Shahramanyan.
Selon lui, les portes de la représentation du Haut-Karabakh en Arménie sont ouvertes à tous, ils sont prêts à résoudre les problèmes des personnes déplacées de force du Haut-Karabakh dans les limites de leurs capacités et de leurs pouvoirs.
"Je demande à nos compatriotes d’être sobres et vigilants, il n’est pas nécessaire de recourir à des provocations, ce n’est pas typique pour nous. Nous n’avons pas le droit de nous comporter ainsi les uns envers les autres. Je n’ai jamais refusé de rencontrer qui que ce soit et de discuter de problèmes. Nous sommes ouverts à tous.
Maintenant, je demande à nos compatriotes de se disperser et de s’occuper des affaires quotidiennes. Votre problème est clair pour nous. Dans un avenir proche, vous recevrez mes réponses publiques à vos questions. Nous nous trouvons dans une situation difficile et pour sortir de cette situation, nous avons seulement besoin de l’unité" a conclu Samvel Shahramanyan.
Une situation tendue s’est créée près du bâtiment de la représentation du Haut-Karabakh en Arménie. Un groupe de citoyens déplacés de force du Haut-Karabakh, qui manifestaient près du bâtiment de la représentation du Haut-Karabakh en Arménie, est entré par effraction dans le bâtiment, exigeant une rencontre avec le président du Haut-Karabakh, Samvel Shahramanyan.
Krikor Amirzayan
Le Courrier d’Erevan
20 Octobre 2023
La torture comme arme de guerre azérie, contre les populations civiles (courrier.am)
La torture comme arme de guerre azérie, contre les populations civiles
L'Arménie saisit la Cour Internationale de justice contre l'Azerbaïdjan pour cas avérés de torture et de maltraitance infligées aux populations civiles du Haut-Karabagh.
Par Olivier Merlet
Lors d'un point presse tenu le 19 octobre, Anahit Manasyan, défenseur des Droits de l'homme en Arménie a annoncé avoir transmis à la Cour internationale de Justice de La Haye et à tous ses partenaires un rapport préliminaire et documenté sur des cas nombreux et avérés de torture et de mauvais traitements infligés aux populations civiles du Karabagh par les soldats azéris pendant et après l'invasion du 19 septembre.
Selon la médiatrice de la République, « de nombreux corps ont été transportés du Haut-Karabakh vers la République d'Arménie, y compris des civils, portant des traces de torture et, ou, de mutilation. Parmi eux il y a des enfants, parmi eux il y a des femmes ». Anahit Manasyan n'a pas voulu préciser l'ampleur des crimes commis ni communiquer de chiffre précis à ce stade des recherches menées par ses services. « Le rapport que nous avons présenté n'est encore que préliminaire, il est possible qu'à l'avenir, les informations qui y sont enregistrées soient sujettes à certains changements ».
Gor Abrahamyan, porte-parole du Comité d'enquête gouvernementale ajoute de son côté que « les recherches sont menées à grande échelle, mais suffisamment de faits attestant de mutilation de cadavres et de violences contre les personnes sont déjà réunis ». Le dossier sera également porté devant la Cour européenne des Droits de l'homme, autre juridiction internationale distincte de la CPI.
Parallèlement, le bureau du défenseur des Droits de l'homme précise également que les cas d'arrestations arbitraires de civils aussi bien que de soldats et responsables militaires ou politiques du Haut-Karabagh font également partie de l'instruction du dossier pénal. « La restriction des droits des Arméniens de souche en Artsakh s'accompagne de violations évidentes des normes juridiques internationales. Le principe de la présomption d'innocence est violé à tous les niveaux en Azerbaïdjan à l'égard de ces personnes car elles sont systématiquement qualifiées de criminelles. Outre le maintien du principe de présomption d'innocence, le droit à un procès équitable par un tribunal impartial est impossible à garantir dans les conditions de haine arménienne conduite par la politique menée en Azerbaïdjan ».
ARMENPRESS
20 Octobre 2023
Le nombre de personnes déplacées de force dans le Haut-Karabakh s'élève à 101 848
EREVAN, 20 OCTOBRE, ARMENPRESS: Le nombre de personnes déplacées de force qui sont arrivées en Arménie depuis le Haut-Karabakh s'élève à 101 848 selon les dernières données d'enregistrement mises à jour.
48 964 sont des hommes et 52 884 des femmes, a déclaré à la presse Armen Ghazaryan, directeur du service des migrations et de la citoyenneté.
Les personnes déplacées de force du Haut-Karabakh qui ne se sont pas encore fait enregistrer doivent le faire dans les mairies des villes où elles se sont arrêtées. Les données seront ensuite traitées et introduites dans la base de données.
Nouvelles d’Arménie Magazine
20 Octobre 2023
Le nouveau maire d’Erevan critiqué pour son inauguration pompeuse
Le nouveau maire d’Erevan, Tigran Avinian, a suscité de vives critiques de la part de l’opposition jeudi, après qu’il est apparu que la somptueuse cérémonie d’inauguration qu’il a organisée la semaine dernière a coûté aux contribuables plus de 87 millions de drams (220 000 dollars).
M. Avinian, allié du premier ministre Nikol Pashinian, a prêté serment le 13 octobre, près d’un mois après les élections municipales au cours desquelles le parti au pouvoir, le Contrat civil, a fait ce que de nombreux observateurs considèrent comme un mauvais score.
Le parti dirigé par M. Pashinian a obtenu 32,5 % des voix, ce qui est loin de lui donner la majorité absolue au sein du conseil municipal habilité à désigner le maire. Il est parvenu à installer M. Avinian grâce à un accord de partage du pouvoir avec un parti pro-établissement et au soutien effectif d’un autre groupe dirigé par un vidéoblogueur controversé recherché par les autorités arméniennes chargées de l’application de la loi.
Malgré ce revers électoral évident, l’investiture de M. Avinian, à laquelle ont assisté les plus hauts responsables de l’État arménien mais qui a été boycottée par les groupes d’opposition, s’est déroulée avec un faste sans précédent qui a fait sourciller tout le pays.
L’administration municipale a révélé le coût de la cérémonie dans une déclaration écrite au service arménien de RFE/RL. Elle a précisé que la moitié de l’argent avait été consacrée à des décorations évoquant l’ancien royaume d’Urartu, dont le souverain Argishti Ier, qui date du VIIIe siècle avant J.-C., est considéré comme le fondateur d’Erevan.
M. Avinian a été accueilli par des hommes habillés en guerriers urartéens lorsqu’il est entré dans la salle d’inauguration. Le jeune homme de 34 ans a posé sa main sur une réplique d’une inscription cunéiforme laissée par Argishti lorsqu’il a prêté serment.
M. Avinian a défendu la mise en scène inhabituelle de l’événement lorsqu’il s’est adressé aux journalistes à l’issue de la cérémonie. Il a déclaré qu’il s’agissait de rappeler aux Arméniens « les origines d’Erevan ».
Mais ses opposants politiques y ont vu de l’extravagance, du gaspillage d’argent public et du mauvais goût. Izabella Abgarian, membre du conseil municipal récemment réélu et représentant le parti de l’ancien maire Hayk Marutian, arrivé en deuxième position, a déclaré que M. Avinian avait exposé sa « vanité maladive ».
« À mon avis, il s’agit d’une véritable honte compte tenu de l’état actuel de notre pays », a déclaré Mme Abgarian au service arménien de RFE/RL. "Maintenant que nous recevons des réfugiés de l’Artsakh (Haut-Karabakh), je vois un sérieux problème de moralité dans une cérémonie aussi pompeuse et coûteuse.
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RUSSIE
Nouvelles d’Arménie Magazine
18 Octobre 2023
Zakharova a parlé aux médias azéris des « avantages » du projet dit « Corridor de Zangezour »
Le déblocage des communications de transport dans le Caucase du Sud est l’élément principal du règlement des relations arméno-azerbaïdjanaises.
C’est ce qu’a déclaré Maria Zakharova, la porte-parole du ministère des Affaires étrangères de la Fédération de Russie, dans une interview accordée à La Tendance, en réponse à une question sur les avantages du projet dit « Corridor de Zangezour ».
"Le déblocage des communications de transport dans le Caucase du Sud est un élément clé du règlement des relations arméno-azerbaïdjanaises, qui a été développés entre 2020 et 2022 sur la base d’accords tripartites au plus haut niveau.
Cette question a été confiée au groupe de travail tripartite, coprésidé par les vice-premiers ministres de Russie, d’Azerbaïdjan et d’Arménie. Jusqu’à présent, 12 réunions de ce groupe ont eu lieu et le paquet d’itinéraires ferroviaires et routiers potentiels a été discuté en détail" a déclaré Maria Zakharova.
Elle a ajouté que selon les résultats de la 12e réunion du groupe de travail tripartite tenue début juin, des progrès ont été réalisés dans l’accord sur les moyens de débloquer les communications de transport entre l’Azerbaïdjan et l’Arménie.
« Un accord général mutuel a été atteint concernant la mise en œuvre de mesures concrètes pour la restauration et l’organisation des communications ferroviaires le long de la route Yeraskh-Joulfa-Meghri-Horadiz. Nous travaillons sur la base de la nécessité de maintenir les principes de réciprocité, dans le respect de la souveraineté et de la juridiction des deux pays » a ajouté Zakharova.
La porte-parole de la diplomatie russe a également souligné que le succès du déblocage des communications donnerait une impulsion supplémentaire au développement du traité de paix entre l’Azerbaïdjan et l’Arménie, à la démarcation de la frontière arméno-azerbaïdjanaise et au début du dialogue entre la société politique et les parlementaires. Source Armtimes.
Krikor Amirzayan
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EUROPE – FRANCE
Nouvelles d’Arménie Magazine
20 Octobre 2023
Le Parlement autrichien a adopté à l’unanimité une résolution condamnant le nettoyage ethnique de la population du Haut-Karabagh par l’Azerbaïdjan
Jeudi 19 octobre, le Parlement autrichien a adopté à l’unanimité une résolution condamnant le nettoyage ethnique mené par l’Azerbaïdjan contre la population arménienne du Haut-Karabakh. C’est ce qu’a rapporté l’ambassade d’Arménie en Autriche.
"L’ambassadeur d’Arménie en Autriche, Armen Papikyan, a participé à la session du Conseil national en tant qu’invité d’honneur.
De nombreux députés ont prononcé des discours condamnant l’Azerbaïdjan, appelant le gouvernement fédéral autrichien à soutenir l’Arménie et les personnes déplacées de force du Haut-Karabagh.
La résolution, soutenue par les cinq factions du Parlement, appelle le gouvernement fédéral à « condamner dans tous les forums internationaux et discussions bilatérales les actions militaires de l’Azerbaïdjan qui ont conduit à l’exode massif de plus de 100 000 Arméniens de souche du Haut-Karabakh ».
La résolution souligne l’importance de la protection des droits des Arméniens de souche restés au Haut-Karabakh et de ceux qui souhaitent retourner au Haut-Karabakh, ainsi que de la mise en œuvre des décisions de la Cour internationale de Justice concernant la libre circulation à travers le corridor de Latchine.
Le gouvernement fédéral autrichien est également appelé à s’engager à garantir l’accès libre et sans entrave à long terme des organisations humanitaires internationales au Haut-Karabakh, ainsi qu’à assurer la protection complète des biens culturels et des églises du Haut-Karabakh.
La résolution est également favorable à l’octroi des fonds nécessaires à l’Arménie, en tant que pays prioritaire de la coopération autrichienne au développement, pour poursuivre la stabilisation de la situation humanitaire" indique le message. Source Armtimes.
Krikor Amirzayan
Aletelia
17 Octobre 2023
Ne sacrifions pas l'Arménie aux intérêts économiques ! (aleteia.org)
Ne sacrifions pas l’Arménie aux intérêts économiques !
La lâcheté européenne devant l’agression azérie contre les Arméniens du Haut-Karabagh indigne le chef d’entreprise Hubert de Boisredon. Il dénonce une déviance de fonctionnement de notre économie.
Les terribles violences des guerres qui se déroulent actuellement en Israël, à Gaza et en Ukraine appellent notre prière. Mais un autre drame se joue actuellement en Arménie, presque en silence, aux confins de l’Europe. Nous devons collectivement nous réveiller et demander à nos dirigeants européens de réagir beaucoup plus fortement car c’est non seulement un peuple qui est martyrisé, mais c’est aussi notre histoire, notre foi et nos racines qui sont menacées.
Quelle est la situation ? Située dans la région du Petit Caucase, en Asie occidentale, l’Arménie possède des frontières terrestres avec la Turquie à l’Ouest, la Géorgie au Nord, l’Azerbaïdjan à l’Est et l’Iran au Sud-Est. La religion chrétienne est une composante importante de l’identité nationale. Les Arméniens vivent sur leurs terres ancestrales depuis 3.000 ans. Ils ont subi une extermination systématique de la part de l’Empire ottoman en 1915, qualifiée de « génocide arménien » par lequel ont péri 1,5 million d’Arméniens. L’Arménie devient indépendante en 1991, lors de la dissolution de l’URSS. Une tension historique demeure cependant entre l’Azerbaïdjan et l’Arménie autour de la question du Haut-Karabagh, une région majoritairement arménienne, mais convoitée par l’Azerbaïdjan.
Rayer l’Arménie de la carte
Après un blocus de plusieurs mois pour couper les communications et affamer la population, l’Azerbaïdjan est passé à l’offensive et a sonné le coup de grâce en attaquant la région du Haut-Karabagh le 19 septembre, jetant sur les routes de l’exode 100.000 Arméniens sur les 120.000 habitants qui y habitent depuis plus d’un millénaire. Ils sont dépossédés de leur terre ; ils ont tout perdu. Les vers de Charles Aznavour sont malheureusement une nouvelle fois réalité : des Arméniens connaissent à nouveau « la faim, le froid et la misère »… Le dictateur Ilham Aliyev a clairement affirmé ce qu’il voulait faire : rayer l’Arménie de la carte. Le risque qu’il aille plus loin encore dans son offensive est donc bien réel. La province du Syunick qui est au sud de l’Arménie est potentiellement menacée.
L’Arménie est une terre chrétienne à la jonction de l’Europe et de l’Asie. Ce qui se passe actuellement est extrêmement grave : Mgr Pascal Gollnisch, directeur de l’Œuvre d’Orient, explique que des églises et des monastères sont détruits, des croix rasées, des civils humiliés. L’Europe a toujours été aux côtés de l’Arménie, protégeant ces populations chrétiennes contre ses ennemis. Et pourtant cette fois-ci, jusqu’à présent, elle laisse faire cette agression azérie, réagissant simplement par quelques molles déclarations. Or comme le crient le patriarche de Cilicie des Arméniens, Sa Béatitude Raphaël Bedros XXI et Mgr Raphaël Minassian, patriarche de l’Église catholique arménienne, c’est le génocide de 1915 qui se répète sous nos yeux.
Lâcheté européenne
Comment en sommes-nous arrivés à cette lâcheté européenne ? Il faut oser dénoncer l’accord qui a été signé le 18 juillet 2022 à Bakou, capitale de l’Azerbaïdjan, entre la présidente de la Commission européenne, Ursula van der Leyen, et le dictateur Ilham Aliev, visant à doubler les importations de gaz azerbaïdjanais pour compenser une partie du gaz russe soumis aux sanctions. Pour diversifier ses approvisionnements après la guerre en Ukraine, l’Union européenne s’est en effet tournée vers le gaz azerbaïdjanais. Le contrat a rapporté 15,6 milliards d’euros à Bakou avec l’objectif que ce pays double ses exportations gazières vers l’UE d’ici 2027. En vue, 20 milliards de mètre cubes par an, contre 8 milliards en 2021. L’opportunité était trop belle pour l’Azerbaïdjan d’utiliser cette nouvelle dépendance de l’Europe pour préempter la région stratégique arménienne de l’Artzakh.
Nous ne pouvons pas, au nom d’une volonté de maintenir un confort économique, pactiser avec des régimes qui martyrisent leurs populations.
Jeudi 5 octobre, le Parlement européen a adopté, à une large majorité, un texte réclamant à l’Union européenne la « suspension » de cet accord et appelant à des « sanctions ciblées » contre l’État azerbaïdjanais. « Est ce qu’acheter du gaz à Bakou est moins coupable que d’en acheter à Moscou ? », a demandé en préambule du vote, l’eurodéputé François-Xavier Bellamy. À Paris, le président du groupe Les Républicains au Sénat, Bruno Retailleau a interpellé la Première ministre Élisabeth Borne pour que la France prenne des mesures beaucoup plus radicales pour protéger ce peuple martyr qui a face à lui un dictateur dangereux et déterminé. Le nouveau vice-président du Sénat en France, le communiste Pierre Ouzoulias dénonce aussi « le jeu d’une realpolitik épouvantable ». Défendre l’Arménie dépasse la logique des partis politiques ; il s’agit de l’honneur de la France !
Comme dirigeant d’entreprise et comme chrétien, il me paraît essentiel d’alerter nos contemporains sur ce drame humain qui menace nos racines aux frontières de l’Europe. Je m’étais engagé aux côtés de l’Œuvre d’Orient pour soutenir les minorités chrétiennes et yézidies persécutées par Daech en Irak. Ce qui se passe actuellement est d’une même nature. Il est aussi le signe pour moi d’une déviance de fonctionnement de notre économie. Nous ne pouvons pas, au nom d’une volonté de maintenir un confort économique, pactiser avec des régimes qui martyrisent leurs populations. La décision d’augmenter les achats européens de gaz à l’Azerbaïdjan équivaut à financer l’épuration ethnique que les Arméniens subissent. Ceci est d’autant plus grave quand on sait qu’une bonne partie du gaz importé d’Azerbaïdjan est russe ! Devant le peu de réactions de la communauté internationale, le risque, souligné par le secrétaire d’État américain Antony Blinken, est que l’Azerbaïdjan envahisse bientôt toute l’Arménie dans les semaines à venir. Ce serait une honte pour l’Europe !
Être fidèle à l’essentiel
La cause arménienne est plus qu’une terre à défendre, c’est un combat pour la défense de la liberté des chrétiens à vivre leur foi aux frontières de l’Europe. Ce drame nous interpelle également sur l’importance comme acteurs de l’économie d’être à la hauteur de nos valeurs. Être fidèle à l’essentiel de ce qui nous anime doit être placé au-dessus de l’appât du gain et de contrats énergétiques prometteurs. Il faut espérer à ce titre que les contrats d’approvisionnement d’hydrocarbures signés récemment par certains énergéticiens français et européens avec le Qatar avec l’accord du Hezbollah ne nous lieront pas contre nos valeurs essentielles pour défendre le Liban dans la crise israélo-palestinienne actuelle.
Certains prôneront la « real politik ». Mais n’y a-t-il pas d’autre voie que de la dépendance et la compromission avec nos valeurs ?
Les mots de Sylvain Tesson dans le magazine Le Point du 14 octobre dernier résonnent en moi : « Pourquoi l’Europe a-t-elle laissé faire envers les Arméniens ce qu’elle ne laisse pas faire ailleurs ? […] Ô que la chute de la maison d’Artzakh réveille l’Europe pour qu’elle s’avise enfin de prêter secours à ce qui lui a toujours ressemblé au lieu de vendre son âme à ce qui lui sera un jour hostile ! »
Certains prôneront la « real politik ». Mais n’y a-t-il pas d’autre voie que de la dépendance et la compromission avec nos valeurs ? Ne serait-ce pas le moment de nous engager résolument à défendre ce peuple qui nous est si proche et d’inviter nos contemporains à une réelle sobriété énergétique au nom de la lutte contre le réchauffement climatique et de notre liberté ? J’en appelle à ce que la France et l’Europe prenne des sanctions extrêmement fortes contre le régime de Bakou et suspende ses achats de gaz, en associant les Français et les Européens à l’enjeu de défendre nos valeurs et notre liberté dans cette période critique de l’histoire.
Radio Arménie
13 Octobre 2023
Tigran Yégavian, géopolitologue, spécialiste du Caucase
Un entretien avec Tigran Yégavian,
journaliste et chercheur au Centre Français
de Recherche sur le Renseignement
Tigran Yégavian, géopolitologue, spécialiste du Caucase (radioarmenie.com)
Nouvelles d’Arménie Magazine
20 Octobre 2023
Le 23 octobre, les ministres des Affaires étrangères de l’UE discuteront de la question du soutien à l’Arménie et de son approche à l’égard de l’Union européenne
Les ministres des Affaires étrangères des 27 pays de l’UE discuteront de l’aide fournie à l’Arménie et de son approche envers l’UE lors de la réunion prévue le lundi 23 octobre. Un haut responsable européen a dévoilé l’information aux journalistes à Bruxelles.
« Nous voulons soutenir l’Arménie, nous voulons renforcer sa stabilité, l’Arménie est un pays démocratique, nous voulons rapprocher l’Arménie de l’UE » a-t-il déclaré.
Krikor Amirzayan
Nouvelles d’Arménie Magazine
20 Octobre 2023
M Blanquer à l’initiative d’un débat de haute intensité sur le nettoyage ethnique en Arstakh
Le drame du Haut-Karabakh et la question des sanctions contre l’Azerbaïdjan ont été au cœur du débat organisé par le Laboratoire de la République jeudi à la Maison de l’Amérique latine à Paris. Cette première du Think Tank animé par Jean-Michel Blanquer, ancien ministre de l’Educatiron nationale, qui a introduit et conclu la soirée, et le chef d’entreprise Robert Vassoyan, a réuni un large panel de personnalités qui ont échangé et fait partager leur point de vue sur le sujet, extrêmement inquiétant alors que de nouvelles menaces planent sur l’Arménie.
Devant une salle bondée et électrisée par ce contexte insupportable, les politiques français invités, Jean-Louis Bourlanges, président de la commission des Affaires étrangères à l’Assemblée nationale et Nathalie Loiseau, députée européenne, rejoints par Xavier Bertrand, président de la Région des Hauts-de-France qui a également pris la parole, ont tous été d’accord pour dénoncer l’impuissance de la communauté internationale et de l’Europe qui s’est avérée incapable de conjurer le nettoyage ethnique annoncé. « Nous avons vu arriver la foudre comme dans un film au ralenti, nous avons observé sa courbe et regarder tomber sans avoir rien pu faire pour la contenir », a expliqué avec émotion et éloquence Jean-Louis Bourlanges qui participait à la deuxième table ronde où officiait également Hasmik Tolmajyan, ambassadrice d’Arménie en France et Hovhannès Guévorkian, représentant du Haut-Karabakh.
Un point de vue globalement partagé par l’Euro-député allemande (Verte) Viola von Cramon-Taudabel, qui a plaidé (en anglais) pour des sanctions contre l’oligarchie azerbaïdjanaise et par l’euro-député Nathalie Loiseau, indignée par la situation. Voulant toutefois rester relativement positive, cette dernière a mis en exergue l’engagement du Parlement européen, qui, contrairement à son exécutif, s’est largement saisi du problème en votant à plusieurs reprises des résolutions condamnant l’Azerbaïdjan. « Vous n’êtes pas seuls », a-t-elle lancé, tout en connaissant les limites de cette institution, qui représente néanmoins un tremplin pour une plus forte implication de l’exécutif européen. L’ancienne tête de liste d’En Marche, aux précédentes élections européennes, s’est également désolée de la candeur de Charles Michel qu’elle a invité à ne pas se contenter des bonnes paroles d’Aliev lors des négociations. Il devrait toujours entendre aussi ses vociférations à Bakou, a-t-elle conseillé. Elle a, de la même manière, souhaité se montrer quelque peu indulgente envers Ursula von der Leyen, avec laquelle elle s’est entretenue à Bordeaux au début du mois lors de l’événement de rentrée de Renaissance, en mettant sur le compte de son inexpérience en matière de politique étrangère ses déclarations sur la « fiabilité » du dictateur azéri… Tout en se désolant du fait que les Etats européens qui se veulent en pointe dans la défense de la chrétienté, comme l’Italie la Hongrie et l’Autriche, se soient avérés être les plus frileux pour voter des sanctions contre l’Azerbaïdjan, pour lesquelles il faudrait une unanimité. Elle s’est félicitée de l’élargissement progressif des nations amies de l’Arménie, au nombre desquelles on peut désormais ajouter l’Allemagne, malgré un fort lobby turc ou des pays du Nord comme la Lituanie.
Prenant la parole depuis la salle, Xavier Bertrand s’est montré très offensif en demandant davantage de soutien de la France, notamment sur le plan militaire, mais également un vrai renforcement de sa présence sur place avec beaucoup plus d’observateurs. Bien que membre de l’opposition, il a reconnu la sensibilité du président de la République sur le sujet, tout en l’invitant à se rendre au plus vite en Arménie, avec d’autres chefs d’Etats européens, pour à la fois exprimer un soutien fort à Erevan et exercer une pression sur Bakou.
Enfin, Luis Moreno-Ocampo, juriste et ancien premier procureur de la Cour pénale internationale, a de nouveau exhorté dans un message vidéo à prendre la juste mesure des événements des dix derniers mois en Artsakh, qui sont légalement constitutifs d’un génocide, selon la définition retenue par cette instance.
Le sort des réfugiés, celui des prisonniers politiques, la question de leur retour, celle du panturquisme ont également figuré parmi les thèmes abordés lors de cette soirée riche en contenu, et en propositions.
La première partie de cette réunion, modérée de bout en bout par Valérie Toranian, directrice du Point, a été consacrée à une présentation historique de l’Arménie assurée par Jean-Christophe Buisson, directeur adjoint du Figaro Magazine, tandis que le chercheur Tigrane Yegavian a dressé avec clarté un état des lieux géopolitique du conflit. Des exposés pédagogiques, complétés par les interventions toujours aussi pertinentes et sensibles de SE Hasmik Tolmajian et de M.Hovhannès Guévorkian. L’ambassadrice d’Arménie en France a bien sûr tiré le signal d’alarme, en soulignant le rôle de la dimension historique dans la menace qui touche son pays et en expliquant que pour l’Artsakh, le droit à l’autodétermination était en réalité synonyme de droit à l’existence, de « droit à la vie ». Le représentant de feu la République du Haut-Karabakh, après avoir décrit l’ampleur du désastre, a fait part des réflexions en cours dans ce qu’il reste des cercles dirigeants de l’Artsakh sur la suite qui sera donnée à son juste combat.
Les photos voir JM Blanquer à l’initiative d’un débat de haute intensité sur le nettoyage (…) – Nouvelles d'Arménie en Ligne (armenews.com)
Nouvelles d’Arménie Magazine
20 Octobre 2023
Le Sénat tchèque a adopté une résolution condamnant les violences contre la population du Haut-Karabagh
Le 18 octobre, le Sénat tchèque a adopté une résolution sur les besoins humanitaires et la situation des Arméniens du Haut-Karabakh, un texte qui condamne toutes les formes de violence contre la population du Haut-Karabakh et appelle toutes les parties au conflit à respecter les normes fondamentales de droit international humanitaire, rapporte l’ambassade d’Arménie en République tchèque.
La résolution appelle l’Azerbaïdjan à autoriser les observateurs internationaux à entrer dans le Haut-Karabakh pour surveiller le traitement réservé à la population locale, appelle toutes les parties impliquées à s’abstenir d’endommager les monuments culturels et historiques du Haut-Karabakh et à préserver le patrimoine culturel mondial.
Les sénateurs soulignent l’importance de fournir une aide humanitaire et un soutien aux personnes touchées dans la région, en appelant le gouvernement tchèque à être prêt à fournir une assistance dans la mesure de ses capacités, en particulier aux groupes les plus vulnérables, comme les mères avec enfants et les enfants non accompagnés.
Krikor Amirzayan
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Turquie- Azerbaïdjan
Nouvelles d’Arménie Magazine
20 Octobre 2023
La conférence internationale contre le « colonialisme français » s’ouvre à Bakou
BAKU, Azerbaïdjan, 20 octobre. La conférence internationale « Néocolonialisme : Violation des droits de l’homme et injustice », organisée par le Groupe d’initiative de Bakou, a débuté à Bakou, en Azerbaïdjan, rapporte Trend.
Des représentants de 14 pays et territoires marins sous domination coloniale française (Nouvelle-Calédonie, Polynésie française, Guyane française, Martinique et Guadeloupe), ainsi que de la Corse, participent à la conférence.
Le Groupe d’initiative de Bakou (BIG) a été créé le 6 juillet 2023 à Bakou par les participants à la conférence « Élimination totale du colonialisme » dans le cadre de l’assemblée ministérielle du Bureau de coordination du Mouvement des non-alignés, présidée par la République d’Azerbaïdjan.
BIG soutient la lutte pour la liberté des nations de différentes parties du monde qui sont encore soumises à la colonisation au XXIe siècle.
NDLR : Petite annonce d’un « colonisé » d’Artsakh : Échangerais immédiatement ma place contre celle des TOM–DOM « colonisés » par la France et un colonisateur azéri contre 1000 « colonisateurs » français…Cette réunion de soi-disant indépendantistes sur fond de nettoyage ethnique des Arméniens d’Artsakh est tout simplement une honte.
Nor Haratch
18 Octobre 2023
Aliev : « Nous reviendrons à Zanguezour, mais pas avec des chars… » – Nor Haratch
Aliev : « Nous reviendrons à Zanguezour, mais pas avec des chars… »
Le 17 octobre, lors d’une réunion avec les citoyens réinstallés et les représentants des communautés de la région dans la ville de Fizouli (Varanda), le président azerbaïdjanais Ilham Aliev a annoncé : « Nous reviendrons à Zanguezour, pas avec des chars, mais avec des véhicules civils. »
Il ajouta : « Nous ne revendiquons pas les territoires d’autres pays. Quand j’ai parlé de Zanguezour, on a essayé de m’accabler. Mais nous n’y retournerons pas avec des chars… », a-t-il déclaré.
Notons qu’Aliev avait précédemment annoncé son retour à Erevan « dans la patrie de ses ancêtres »…
Nor Haratch
19 Octobre 2023
Bakou réagit au discours du Premier ministre arménien au Parlement européen – Nor Haratch
Bakou réagit au discours du Premier ministre arménien au Parlement européen
« La rhétorique de Pachinian compromet les perspectives d’un accord de paix »
Le ministère des Affaires étrangères de l’Azerbaïdjan a réagi au discours du Premier ministre arménien au Parlement européen, notant que les déclarations de Pachinian « montrent l’attitude agressive de l’Arménie et le désir de blâmer l’Azerbaïdjan ».
« Il est désolant d’entendre de telles déclarations de la part de l’Arménie, qui se présente comme un pays démocratique et épris de paix. Les accusations de l’Arménie contre l’Azerbaïdjan sont sans fondement et contredisent les rapports de l’ONU. En outre, Pachinian a précédemment admis qu’il n’y avait aucune menace pour les Arméniens du Karabakh, ce qui contredit ses déclarations actuelles », indique le communiqué publié par le ministère des Affaires étrangères de l’Azerbaïdjan.
Faisant référence au corridor de Berdzor, Bakou note que « l’Azerbaïdjan a la souveraineté sur toutes les routes de son territoire, et les affirmations de l’Arménie concernant l’utilisation abusive de la route de Latchine (Berdzor) contredisen
Concernant la question du déblocage des voies de circulation, selon le ministère des Affaires étrangères de l’Azerbaïdjan, « l’Arménie s’est isolée elle-même des projets régionaux. Elle (l’Arménie) est obligée de construire de nouvelles routes reliant les régions occidentales de l’Azerbaïdjan à la République autonome du Nakhitchevan, mais Erevan ne l’a pas fait. »
Bakou a également déclaré qu’« après l’élimination de la menace dans la région du Karabakh, une opportunité historique est créée pour la normalisation des relations entre les deux pays, tandis que la rhétorique offensive continue du Premier ministre arménien sape les perspectives d’un traité de paix ».
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——————————————B.F. : L'Opinion : l'Occident face au monde |
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Ankara construit à tour de bras en Afrique
https://lepetitjournal.com/fil
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Roland LOMBARDI
https://www.ledialogue.fr/825/
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Galerie de photos de cette semaine sur l’Arménie par un Français
https://photos.google.com/share/AF1QipOvxIllCY-kZgHK2zw99oQXJUrrp3hUjV0Jp9LWsmsHpnMxR59kMFzxe2WnE0TBLw?key=MTZCeEgxZFNEZTdSaV9NMGhfR3l1UGtUVkNGb29n
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Le Monde : sur Orange.fr
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L’Opinion du 18/10/23 |
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Ursula von der Leyen prend trop de décisions toute seule, surtout en matière de politique extérieure. Qui cela va-t-il finir par énerver avant un autre mandat ?
—————————————————————–Mme Colonna devant les sénateurs : quel que soit le récit azéri, oui, l’Azerbaïdjan a planifié et organisé l’exode de plus de 100 000 Arméniens |
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17.10.2023 Articles et communiqués sur la situation en Arménie et en Artsakh./ source : O.T.C.
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’un accord a été trouvé avec Téhéran pour créer une route reliant l’Azerbaïdjan au Nakhitchevan en passant par l’Iran, contournant ainsi l’Arménie. / AFP
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https://www.france24.com/fr/
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"Heydar Aliev, avec qui il a des liens de parenté, lui a donné le Nakhitchevan comme un fief personnel". / Le Monde
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Faut-il en déduire que les forces françaises participeront à des exercices en Arménie? OPEX 360
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source : JP D.
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Ce n’est pas faute d’attirer l’attention sur ce pays qui voudrait entrer dans l’Europe.
Toujours la même rhétorique de moralisation / Monde Occidental
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L’ensauvagement du monde | Le Figaro
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L’escalade des affrontements plonge la Turquie dans l’embarras | Les Échos |
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Los Angeles Review of Books (lareviewofbooks.org)
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#StandWithArmenia 
sur X : "Today Azerbaijani dictator 
Aliyev celebrates 20 years of rule. Also known as the Corleone of the Caucasus or the Butcher 
of the Caucasus, he is the son of the previous Aliyev dictator and the father of a future Aliyev dictator. His "election" was known the day before the… https://t.co/lHuPYPXokk" / X
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https://www.amnesty.org/fr/location/europe-and-central-asia/azerbaijan/report-azerbaijan/
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https://fr.aleteia.org/2023/09/25/sous-les-tirs-azeris-lame-chretienne-de-larmenie/
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https://fr.aleteia.org/2023/10/11/aneantissement-du-haut-karabagh-la-fin-de-lhistoire/
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https://www.hrw.org/fr/news/2023/10/12/questions-et-reponses-sur-lutilisation-de-phosphore-blanc-par-israel-gaza-et-au Liban
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"Tout le monde ́ ." la redac-cfe du magazine "Terre Sainte"
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Israel hors la loi / Orange .fr
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L
OPINION
10 Octobre 2023
Opinion | Le Haut-Karabakh est aussi important que l'Ukraine | Les Echos
Opinion | Le Haut-Karabakh est aussi important que l'Ukraine
Depuis l'invasion de l'Azerbaïdjan dans le Haut-Karabakh, près de 100.000 Arméniens ont dû prendre la fuite. Une situation dramatique qui doit mobiliser la France tout comme elle l'a fait avec la guerre en Ukraine, souligne Arnaud Robinet.
« Dans ce « Caucase compliqué », l'Azerbaïdjan se livre à des crimes destinés à une réécriture complète de l'Histoire du Haut-Karabakh. » (Irakli Gedenidze/Reuters)
Par Arnaud Robinet (maire de Reims, président de la Fédération hospitalière de France)
Publié le 10 oct. 2023 à 17:34Mis à jour le 10 oct. 2023 à 17:43
Depuis maintenant trois ans, un conflit s'éternise aux confins du continent européen, entre l'Azerbaïdjan et l'Arménie, au sujet du Haut-Karabakh. Une région dont la population est très majoritairement arménienne, par son histoire et sa culture, mais dont le territoire est intégré à celui de l'Azerbaïdjan depuis la chute de l'URSS.
Dans ce « Caucase compliqué », l'Azerbaïdjan se livre à des crimes destinés à une réécriture complète de l'Histoire du Haut-Karabakh. Des crimes contre les biens culturels, et en particulier les cimetières et les églises, afin d'effacer la mémoire millénaire des Arméniens de ce territoire.
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https://www.tchobanian.org/analyses/labandon-de-lartsakh-hanterait-les-armeniens-a-jamais/
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« Plus il y a de crises, plus l’attention des pays démocratiques est dispersée » Conseiller de Zelensky
Et quand c’est l’Ukraine qui détourne les regards de l’Arménie, ça ne gêne pas M. Zelensky !
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Le décompte surréaliste des morts de la pétition. · Exclure l’Iran …Change.org
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Ayda MENZIK GUÉDIKIAN ( Fonds Arménien) et Grégory BAKIAN ( chanteur), deux arméniens distingués par la Ligue Univetselle du Bien Public
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30 minutes avec la sociologue
https://www.humanite.fr/monde/
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https://www.humanite.fr/chaine
voix-deurope
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Le journal international – L'actualité internationale du 12/10/23 TV5 Monde
https://www.france24.com/fr/
Conflit au Proche-Orient : la Turquie négocie avec le Hamas • FRANCE 24 :https://youtu.be/rMTvAiuvDWo?si=NH8XFiZvgW11gGwM
https://www.france24.com/fr/asie-pacifique/20231012-haut-karabakh-l-arm%C3%A9nie-et-l-azerba%C3%AFdjan-s-affrontent-devant-la-cour-internationale-de-justice
https://lepetitjournal.com/exp
https://media.un.org/en/asset/k1i/k1i7gsc7he
L'Arménie et l'Azerbaïdjan s'affrontent jeudi devant la plus haute juridiction de l'ONU, Erevan demandant aux juges d'enjoindre à Bakou de retirer ses troupes du Haut-Karabakh et de permettre aux Arméniens de souche déplacés de retourner en toute sécurité dans la région séparatiste.
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la sélection média de JP D.
photo : Armineh JOHANNES arminehjo@hotmail.com
