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Après le changement de pouvoir en 2018, lorsqu'il est devenu évident qu'un mauvais choix avait déjà été fait, le peuple arménien s'est retrouvé dans un cycle d'humiliation ininterrompue. C'était comme dans la guerre de 44 jours  la lourde défaite a été le pic de l'humiliation, mais il s'est avéré que ce n'était pas le cas lorsque Nikol Pashinyan a remis l'Artsakh à l'Azerbaïdjan pour la première fois verbalement et bientôt, sans aucun doute, il le remettra par écrit.
Une autre goutte d'humiliation s'est ajoutée hier lorsque les États-Unis ont salué la "bonne volonté" d'Ilham Aliyev de gracier les autorités de l'Artsakh. Détails:
La lutte pour rouvrir Melkonian continue (Vidéo)
Dr. Minas Gochaian
L'Arménie est à l'époque de l'apostasie, du patriotisme, de la tromperie, de la destruction nationale et, à l'exception d'un petit nombre de fidèles, personne n'en a besoin.
Les marionnettes du gouvernement de la République d'Arménie, dansant sous la direction de leur chef, traînent le peuple arménien hors de chez lui comme une épouse vers son destin en plein jour, remettant le FOYER avec toute son histoire et sa culture à l'ennemi . Le seul adversaire puissant de ce tragique "maître de mariage", le soi-disant premier ministre , est le chef du pays ennemi, qui ne connaît pas de limites dans ses exigences. C'est absurde.
Dans ce mariage tragique, le peuple est présent comme un parent pauvre, retiré et silencieux. Détails:
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