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C’est en 354 que le pape Liberus a fixé la date de la naissance de Jesus à la nuit du 24 au 25 décembre , les Evangiles n’ayant pas précisé le jour

noelC'était l'une des dernières fêtes chrétiennes la plus célébrée en France . Catholiques et protestants assistaient , pour Noël, à la cérémonie de la Nativité , la naissance de Jesus Christ. Pour les orthodoxes ce sera un peu plus tard en janvier . Pour les apostoliques arméniens ce sera dans la nuit du 5 au 6 janvier.

45 000 églises catholiques, 4000 temples protestants, 150 édifices orthodoxes participaient à la "Douce nuit, sainte nuit…" . 16 800 prêtres officiaient en France . 12% des catholiques sont pratiquants réguliers, 72% occasionnels ,16% non-pratiquants.

290 300 baptêmes ont été célébrés en 2012 (425 000 en 1995), et 70 370 mariages dont pour 10 450 , seul un des conjoints était catholique.

C’est à partir du IIIe siècle que certaines communautés chrétiennes cherchent  la date exacte de naissance de Jésus ; sont proposées : 6 janvier (correspondant à l'Épiphanie, date choisie par les Basilidiens vers la fin du IIe siècle et reprise par les communautés chrétiennes d’Orient), 28 mars (mention dans De Pascha Computus, un calendrier des fêtes datant de 243), 18 novembre (date proposée par Clément d'Alexandrie[23])… Le 25 décembre marquait depuis Aurélien (v.270) l'anniversaire du Sol Invictus. Dans un souci de christianiser les anciennes fêtes païennes, cette date fut progressivement étendue à tout l'Occident latin. Dans le christianisme, cette date correspond donc à la fête de la naissance du Christ, mais pas à son anniversaire. Les Églises orthodoxes, qui ont conservé le calendrier julien, célèbrent Noël le 25 décembre de ce calendrier, ce qui correspond au 7 janvier du calendrier grégorien et au solstice d'hiver du calendrier égyptien. Seule l'Église apostolique arménienne a conservé la date précise du 6 janvier comme jour de la fête de Noël[24].

L'Eglise apostolique arménienne (en arménien Հայաստանեայց Առաքելական Եկեղեցի, Hayastaneayc’ Aṙak’elakan Ekeġec’i), est une Église orientale, orthodoxe et autocéphale[3]. C'est une des Églises des trois conciles dites aussi « Églises orthodoxes orientales »[2].

Elle revendique son titre d'« apostolique » en faisant remonter ses origines aux apôtres Thaddée et Barthélemy. Devenue religion officielle du royaume d'Arménie avec la conversion du roi Tiridate IV par saint Grégoire l'Illuminateur, elle développe son particularisme du VIe au début du VIIIe siècle, qui voit sa christologie se stabiliser selon la doctrine miaphysite.

Le « Patriarche suprême et Catholicos de tous les Arméniens » qui réside à Etchmiadzin près d'Erevan bénéficie d'une primauté d'honneur parmi les différents hiérarques ; le titulaire actuel est Sa Sainteté Garéguine II depuis le

 

 

Depuis quelques années , les chrétiens d'Orient sont la cible des "djihadistes" (djihad = "guerre sainte") .Heureusement les peshmergas (combattants) kurdes les protègent au Kurdistan , à Maaloula ou à Mossoul.

source : CSA , wikipedia