1 Nouvel Hay Magazine

“Un Cognac sinon rien”

En 1945, lors de la Conference de Yalta, Staline regale  Churchil d'un cognac arménien Dvin .Le Britannique ravi,
demande une bouteille pour la ramener chez-lui.
Par la suite, Staline envoyait chaque mois une caisse  de 12
bouteilles Dvin a Londres.
Quelques années plus tard Churchil se plaint  de la  détérioration  de la qualité de la boisson les derniers temps.
Staline stupéfait fait mener une enquête auprès de l'usine
d'Erevan et il s'avère que la raison de la baisse de la qualité
est dûe à la déportation du maitre de chai, Margar Sétrakian, 
en Sibérie.
Le dictateur ordonne immediatement le retour du maitre et
son réembauchage à l'usine et Churchil  continue à savourer
 son cognac armenien  Dvin jusqu'a la fin de ses jours.

L'écrivain soviètique  Boris Pasternak (Docteur Jivago) écrira

"Margar Setrakian a proclamé que le cognac Dvin parle
l'arménien a travers le monde".
 
Zaven Gudsuz
————————————-Produire du cognac en Arménie, alors même que les viticulteurs français sont vent debout contre les appellations usurpées de champagne californien… Pernod Ricard a changé le nom du cognac arménien pour celui moins sujet à rpocès de "brandy" car le cognac fait l’objet d’une appellation d’origine contrôlée dont l’aire de production est délimitée depuis 1909 . Il est vrai que le cognac arménien en question est exporté pour l’essentiel en Russie (à 85 %), en Ukraine et en Biélorussie, mais de là à faire croire aux Charentais que l’on peut sans problème produire du cognac sur les pentes du mont Ararat…
source : Carnouxprogres