1 Nouvel Hay Magazine

Une danse « Médax Tachkinag »= (mouchoir de soie) unique pour Yerzenga

la danse Medax Tashginag (mouchoir de soie n arménien), est  unique à Yerzenga/Erzindjan.

L'article fournit des instructions étape par étape pour exécuter cette danse. Il contient également une vidéo tutorielle.

Cette section de notre site Web vise à documenter et à partager les performances de diverses danses traditionnelles arméniennes préservées par les communautés de la diaspora aux États-Unis. À cette fin, Houshamadyan s'associe et collabore avec un groupe d'experts en danse arménienne qui ont produit des notations de danse appropriées à des fins de documentation. Ce groupe est composé de Carolyn Rapkievian (de Bar Harbor, Maine), Susan et Gary Lind-Sinanian (de Watertown, Massachusetts), Tom Bozigian (de Los Angeles, Californie) et Robert Haroutunian (Sunyside, NY).

Voici le lien pour la page:
https://www.houshamadyan.org/mapottomanempire/vilayet-of-erzurum/kaza-of-yerzenga/local-characteristics/dance-medax-tashginag.html

L'article a été traduit respectivement en arménien et en turc par Vartan Tashjian et Arlet Incidüzen.

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photo : Yerzenga




Ayntab ou Jbeil , Liban : Houshamadyan

     
Nouvel article de Houshamadyan     Version Internet
     
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Jbeil, vers 1920.

 
 

Les orphelins souriants | Orphelinat de Jbeil/Byblos, Liban | APD

Houshamadyan a obtenu accès aux photographies de 46 orphelins arméniens, qui font partie de la collection photographique personnelle de Garo Derounian.

Très probablement, ces orphelins ont été photographiés sur le terrain de l’orphelinat Near East Relief (NER) dans la ville libanaise de Jbeil. Une autre possibilité est qu'ils aient été photographiés à Ayntab, en 1919-1920, avant leur déménagement à Jbeil. Chaque photographie mesure 7,8 x 10,3 centimètres (3 x 4 pouces). Chaque orphelin est photographié souriant.

Ces photographies remarquables nous ramènent dans le monde des orphelins arméniens au Liban. Au début des années 1920, des milliers de ces orphelins, qui avaient à peine survécu aux horreurs du génocide, étaient dispersés dans de nombreux orphelinats à travers le Liban. Ces institutions s'occupaient des orphelins, les éduquaient, leur apprenaient les métiers et les préparaient à la vie adulte.

Voici le lien pour la page:
https://www.houshamadyan.org/oda/middle-east/jbeil-orphan-house-lb.html

L'article a été traduit respectivement en anglais et en turc par Simon Beugekian et Sevan Deirmendjian.

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Marash, Adana , Afyonkarahisar : Houyshamadyan

     
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De gauche à droite : Angel Avakian, Filor Papazian, Hagop Avakian, Takouhi Avakian (née Papazian) et Kevork Avakian.

 
 

Collection Avakian | Kokkinia (Nikaia) | APD

Ani Apikian continue d'explorer l'histoire des familles gréco-arméniennes, en documentant leurs collections d'objets de mémoire et en les mettant à la disposition de nos lecteurs. Cette nouvelle page présente l'histoire de la famille Avakian.

L'article retrace l'histoire de diverses branches de la famille : la famille Der Artinian de Marash, la famille Keheyan d'Adana, la famille Avakian d'Afyonkarahisar et la famille Papazian d'Afyonkarahisar. Les survivants de ces familles ont atteint la Grèce au début des années 1920, où ils ont commencé une nouvelle vie.

Cette page a été préparée en collaboration avec le périodique "Armenika" d'Athènes.

Voici le lien pour la page:
https://www.houshamadyan.org/oda/europe/avakian-collectian-gr.html

L'article a été traduit respectivement en anglais et en turc par Simon Beugekian et Arlet Incidüzen.

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Amassia , Afyonkarahisar, Constantinople, Smyrne, Van , Autriche, Bulgarie , Roumanie : Houshamadyan

La famille Palandjian. Grèce, 1930.
Collection Palandjian | Le Pirée, Grèce | APD :
l'histoire des familles Palandjian et Utudjian. Avant de s'installer en Grèce, les membres de ces familles vivaient à Amasya, Afyonkarahisar, Van, Constantinople, Smyrne, en Roumanie, en Bulgarie et en Autriche.

L'auteur, Ani Apiguian, a eu une grande partie des informations à partir des mémoires d'Adrine/Andrine Palandjian, qui explorent en détail l'histoire de sa famille. Ani a mené un entretien avec un autre membre de la famille, Serko Palandjian.

Les Palandjiens étaient connus dans la ville grecque du Pirée pour l'usine de tissage et les bains qu'ils fondèrent. Les bains ont été fermés il y a des années et le site abrite aujourd'hui une école d'art. L'entreprise de tissage continue de fonctionner sous la direction familiale sous le nom de société Palatex. L'article d'Ani explore l'histoire de ces entreprises.

Cette page a été préparée en collaboration avec le périodique Amenika d'Athènes.

le lien pour la page:
https://www.houshamadyan.org/oda/europe/palandjian-collection-gr.html

L'article a été traduit respectivement en anglais et en turc par Simon Beugekian et Sevan Deirmendjian.

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Comité de rédaction de Houshamadyan




Adapazar , Armash & son monastère de Charkhapan : Houshamadyan

Armache (ou Armash, arménien : Արմաշ) était une petite ville peuplée d'Arméniens, située dans l'Empire ottoman, près de la mer de Marmara. Avec son séminaire et son monastère de Charkhapan Surb Astvatsatsin (Sainte-Mère de Dieu Destructrice du Mal), Armache a été le centre spirituel des Arméniens en Asie mineure occidentale jusqu'en 1915, lorsque ses habitants furent rassemblés et envoyés aux marches de la mort( génocide des Arméniens) dans le désert syrien sur ordre des dirigeants du Parti union et progrès1.

L'histoire

Fondé en 1611 par des familles arméniennes fuyant les révoltes de Jelali, Armache devient le siège du premier prélat arménien d'Izmid, l'évêque Markos Paron-Ter (1697-98)2. Le monastère de la Sainte Mère de Dieu fut construit au cours du xviie siècle et subit des rénovations au xviiie3. Au début des années 1800, le clergé de l'église crée également une école et une bibliothèque de manuscrits. Le monastère de la Sainte Mère de Dieu est incendié pendant la brève lutte entre le sultan ottoman et les Janissaires rebelles. Il est reconstruit peu de temps après4.

Un séminaire, qui était le seul séminaire arménien en Anatolie occidentale, fonctionnait à côté du monastère. Parmi les autres écoles secondaires, le séminaire d'Armache était considéré comme l'une des institutions arméniennes les plus remarquables de l'Empire ottoman5. Le patriarche de Constantinople Malachia Ormanian et le patriarcat de Jérusalem Yeghishe Tourian ont tous deux été doyens du séminaire6.

Pendant le génocide arménien, la population arménienne d'Armache est raflée par les autorités ottomanes et envoyée aux marches de la mort en Syrie. Le séminaire est pillé de ses possessions inestimables et le monastère de la Sainte Mère de Dieu est démoli et remplacé plus tard par une mosquée7. Selon Vrej Nersessian, un grand nombre de diplômés du monastère qui « étaient devenus les primates ou évêques diocésains dans les provinces de l'Arménie turque » périssent également lors des marches de la mort8.

Références

  1.  Kévorkian, Raymond. The Armenian Genocide: A Complete History. London: I.B. Tauris, 2011, pp. 551-52.
  2.  Hovannisian, Richard G. and Armen Manuk-Khaloyan, "The Armenian Communities of Asia Minor," in Armenian Communities of Asia Minor, ed. Richard G. Hovannisian. UCLA Armenian History and Culture Series: Historic Armenian Cities and Provinces, 13. Costa Mesa, CA: Mazda Publishers, 2014, p. 16-17.
  3.  « Le monastère d’Armache ou de la Sainte-Mère de Dieu Destructrice du Mal [archive] », sur collectif2015.org
  4.  Hovannisian and Manuk-Khaloyan, "The Armenian Communities of Asia Minor," p. 17.
  5.  (en) Louise Nalbandian, The Armenian Revolutionary Movement : The Development of Armenian Political Parties Through the Nineteenth Century, Berkeley, University of California Press, 247 p. (ISBN 978-0-520-00914-1lire en ligne [archive])50 [archive]
  6.  Papazian, « The Armenian Church » [archive du ], Eastern Prelacy of the Armenian Apostolic Church of America (consulté le )
  7.  Hovannisian and Manuk-Khaloyan, "The Armenian Communities of Asia Minor," p. 18.
  8.  Nersessian, Vrej Nerses, "Armenian Christianity," in The Blackwell Companion to Eastern Christianity, ed. Ken Parry, Malden, MA: Wiley-Blackwell, 2010, p. 41.

source : wikipedia

 




Ayntab (Gaziantep)

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Le marchand de teintures Nazar Agha Manoushagian et sa famille, Ayntab, 1912

 
 

Ayntab – Commerce

Les Arméniens d'Ayntab ont joué un rôle crucial dans la vie commerciale de la ville à la fin du XIXe et au début du XXe siècle. De nombreuses familles arméniennes de la ville, telles que les Nazarians, les Manoushaguians, les Khachadourians, les Karamanouguians et d'autres, ont apporté une contribution significative à la prospérité d'Ayntab grâce à leurs activités commerciales.

Notre nouvel article, rédigé par Ani Voskanyan, explore la vie commerciale arménienne dans la ville d'Ayntab.

Voici le lien pour la page:
https://www.houshamadyan.org/mapottomanempire/vilayetaleppo/ayntab/economy/commerce.html

L'article a été traduit respectivement en anglais et en turc par Simon Beugekian et Sevan Deirmendjian




Gurun (Turquie) : industrie, commerce , et…. massacre des Arméniens

Bourg de 12 000 habitants aujourd'hui , en plein coeur d'Anatolie, entouré de petites montagnes. Nous roulons sur les routes arides d'Anatolie , à 1800 m d'altitude, en venant de SIVAS (SEBASTIA) DU NORD : soudain une  tache verte, une oasis  GURUN .

 PLUS BAS : La GrANDE RUE bordée par la rivière  LA RIVIERE TOHMAK qui coupe le village en 2.

Des rues à l'habitat traditionnel rénové. Belles maisons avec l'avancée du 1er étage d'où les femmes regardent la rue.

"L'été il faisait si chaud que nous couchions sur le toît au milieu des abricots qui sèchaient au soleil."

Au nord l'habitat est dispersé; petit centre-ville avec une mosquée et une église à moitié détruite mais impressionnante .(massacres sous Abdul Hamid , le "sultan rouge" )

Un "Guruntsi" transforme Gürün en filiale des entreprises de Manchester .ds centaines de métiers à tisser sont répartis dans les familles guruniennes & celles des villages environnants.

La région, en altitude, a des pâturages pour l'élévage du mouton , développé par les Kurdes et les Turkmènes. L'agriculture rest pauvre et donc l'émigration est importante. La ville profite donc de ces migrants , commerçants originaires de Gürün, qui viennent acheter les produits locaux, et vendre ou échanger les textiles de Damas , Halep (Alep)et Rize contre dela laine brute.

Dans les années 1830 les artisans se spécialisent dans la teinture des Indiennent qu'ils importent , les teignent en bleu et les réexportent.

En 1880 il y a 500 métiers à tisser : châles, , pantalons et vestes en laine et aussi des tissu légers , imitation du cashmire , des copies d'échantillons de vêtemnts pour l'Inde, la Perse et l'Europe.

En 1907 les textiles sont vendus à Dyarbékir (Dikranaguerd) et en 1910 sur les marchés egyptiens 

On mélange déjà le coton à la laine.

En 1911 il y a 3500 métiers à tisser  à Gurun et les villages, : un centre de production principal de la province de Sivas….

 

gurun / tegarama en assyrien,/  targkhigamas en ourartéen, ancêtres des Hays;

sources : Michel Pazoumian / Le livre de ma famile (Karayan / Baghtchedjian / etc…)

"Manufacturing in the Ottoman Empire and Turkey 1500-1950 Donald Quataert State University of New-York"

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Gurün is a town in Sivas Province of Turkey. It is the seat of Gürün District.[2] Its population is 10,657 (2022).[1] The mayor is Nami Çiftçi (MHP).

History

Toponymy

The current name Gürün is most probably a corruption of the ancient name Tegarama, a city in Anatolia during the Bronze Age.[citation needed] In Armenian, the town is known as Gurin or Gyurin (Armenian: Կիւրին). In Kurdish the locality is known as Girîn.[3]

Ancient history

The city was inhabited during the Old Assyrian Kingdom and Hittite Empire. Ancient rock caves dating to 2000 BC are located in the district. The caves would have been in use, possibly as a kind of apartment complex, during the Hittite period. The caves were also "used as a cold storage area, woodshed and animal feed storage area by local people until a short time ago", and are now open to visitors.[4] Nami Çiftçi, the town's mayor, told Daily Sabah that they "don't have a precise date determined by expert engineers or by people who are well-versed in this field, so I invite our historians to Gürün. Come, bring your knowledge and your tools, study these caves so that we can have the data regarding their age, and we can announce it to the world".[5]

Modern history

During the Armenian Genocide, a sizable portion of the city's Armenian population was deported and killed. According to the memoir Goodbye, Antoura, during the pre-genocide years the Armenian population had achieved a level of stability in Gürün, with at least one Armenian family owning large swathes of land and orchards. In 1915, the Ottoman government appropriated these lands, and the Armenian population was deported southward and westward into the Syrian desert, eventually reaching the cities of Homs and Hama.[6]

A student association of Armenians from Gürün was founded in Boston in 1899, which later became the Compatriotic Union of Gurin. The union's initial purpose was to assist survivors of the genocide and their families, and it established chapters across the world. The compatriotic union published two periodicals, one from 1930 to 1933 in New York and another from 1976 to 1981 in New Jersey, as well as a book titled Badmakirk' Gurini ("History Book of Gurin", 1974, Beirut). The union cooperated with Armenians from Gürün in Yerevan to found the village of Nor Kyurin in Soviet Armenia. The organization was dissolved in the late 20th century, as the last Armenians born in Gürün died of old age.[7]

In September 2018, it was announced that a dilapidated Armenian church in Gürün would be renovated.[8][9]

Demographics

In his SeyahatnameEvliya Çelebi claimed that the town's population then was wholly made up of Turkomans.[10] In 1914, there were 13,874 Armenians living in the kaza of Gürün, which contained five villages that were exclusively Armenian and a few scattered settlements. Gürün, the kaza's seat, had 12,168 residents, 8,406 of whom were Armenian.[11]

Notable people

References

  1. Jump up to:a b "Address-based population registration system (ADNKS) results dated 31 December 2022, Favorite Reports" (XLS). TÜİK. Retrieved 22 May 2023.
  2. ^ İlçe Belediyesi, Turkey Civil Administration Departments Inventory. Retrieved 22 May 2023.
  3. ^ Avcýkýran, Dr. Adem (ed.). "Kürtçe Anamnez, Anamneza bi Kurmancî" (PDF). Tirsik. p. 57. Archived from the original (PDF) on 6 June 2020. Retrieved 17 September 2022.
  4. ^ Datta, Debasish (2021-03-26), "Optical Local/Metropolitan and Storage-Area Networks"Optical Networks, Oxford University Press, pp. 135–160, doi:10.1093/oso/9780198834229.003.0003ISBN 978-0198834229, retrieved 2021-09-21
  5. ^ SABAH, DAILY (2020-12-09). "4,000-year-old apartment complex in central Turkey awaits researchers, tourists"Daily Sabah. Retrieved 2021-09-21.
  6. ^ "Chapter 8. Goodbye, Antoura"Goodbye, Antoura, Stanford University Press, pp. 144–166, 2020-12-31, doi:10.1515/9780804796347-010ISBN 9780804796347S2CID 242755866, retrieved 2022-02-19
  7. ^ Baronian, Luc Vartan. "The Former Armenian Community of Gurin"www.uqac.ca. Retrieved 2022-05-12.
  8. ^ "Պիտի վերանորոգուի Սեբաստիոյ պատմական եկեղեցին"arevelk.am (in Armenian). 2018-09-27. Retrieved 2022-05-12.
  9. ^ Aghjayan, George (2019-06-27). "The Many Lives of a Church in Gurin"The Armenian Weekly. Retrieved 2022-05-12.
  10. ^ Evliyâ Çelebi Seyahatnâmesi: III. p. 201. Retrieved 17 October 2022. Cümle âhâlîsi Okçıoğlu kürkü geyer Türkmân kavmidir.
  11. ^ Kévorkian, Raymond H. (2011). The Armenian genocide: a complete history. London: I.B. Tauris. p. 446. ISBN 9780857719300.

source : wikipedia




Shirvan (le nom arménien des Shirvanian vient de là)

 
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Kaza de Shirvan – Monastères, églises et lieux de pèlerinage

Notre nouvel article, rédigé par Tigran Martirosyan, explore les monastères, les églises et les lieux de pèlerinage du kaza (sous-district, comté) de Shirvan. C'est la nouvelle contribution de Tigran à Houshamadyan, suite à son article explorant la démographie du même sous-district.

La vie arménienne dans la région de Shirvan, située au nord-est de la ville de Sghert (Siirt), est peu documentée faute de sources primaires. Tigran Martirosyan a également été confronté à ce défi. Heureusement, comme nos lecteurs le constateront, il a pu accéder à des documents d'archives et à des sources historiques rares pour établir les noms et les emplacements des nombreuses églises et monastères arméniens à travers la région, en plus d'autant de faits que possible à leur sujet.

Voici le lien pour la page.
https://www.houshamadyan.org/mapottomanempire/vilayet-of-bitlispaghesh/kaza-of-shirvan/religion/churches.html

L'article a été traduit respectivement en arménien et en turc par Vartan Tashjian et Arlet Incidüzen

 

ChirvanShirvan et Şirvan :




Ordu

Toujours traduire : arménien

     
Nouvel article de Houshamadyan :     Version Web :
     
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Les orphelines de l'école/orphelinat Tbrotsaser, probablement photographiées à Marseille.

 
 

Collection Araksi Kalousdian-Kavedjian |: Paris APD :

Le nouveau recueil de Houshamadyan, qui fait partie d'une vaste série d'histoires familiales, raconte la vie d'un orphelin arménien, Araksi Kalousdian (plus tard Kavedjian).

Araksi est né à Ordu, au bord de la mer Noire. Durant les années du génocide, elle a perdu ses deux parents. Elle et sa sœur ont survécu sous la garde de Mahitap, leur voisin turc, et de sa famille. Pour le reste de sa vie, Araksi a appelé Mahitap sa « mère turque » et a correspondu avec elle. Une de leurs lettres a survécu et une copie en est fournie sur cette page.

L'histoire de la vie d'Araksi après le génocide reflète l'histoire des organisations et des institutions qui s'occupaient des orphelins arméniens. Au début, elle a été confiée à un orphelinat à Constantinople, puis elle a été transférée dans un autre orphelinat sur l'île grecque de Corfou. De Corfou, elle a été envoyée à l'école/orphelinat Tbrotsaser à Marseille, et enfin à Paris, où elle s'est mariée plus tard et a fondé une famille.

Tout au long de sa vie en tant que pupille des orphelinats arméniens, Araksi a conservé de nombreux objets qui sont désormais en possession de sa famille. Sur cette page, nous présentons son recueil de chansons manuscrites, un carnet dans lequel elle dessinait des motifs de broderie, et même du fil qu'elle utilisait pour la broderie.

Nous tenons à remercier le fils d'Araksi, Krikor Kavedjian, de nous avoir fourni ces documents.

Voici le lien pour la page.
https://www.houshamadyan.org/oda/europe/kambourian-collection-fr/kalousdian-kavedjian-collection-fr.html

L'article a été traduit respectivement en anglais et en turc par Simon Beugekian et Sevan Deirmendjian.




De Van (Turquie) à Fresno (USA) : les Meguerditchian

     
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La famille Mugrdechian.

 
 

La collection Mugrdechian | Fresno | APD

Le nom de Der Mugrdechian était bien connu à Van. Le père Garabed Mugrdechian était curé de l'église Sainte-Mère-de-Dieu d'Ararouts. Son fils, Mardiros, fut également ordonné prêtre et fut nommé Père Melkisetek (ou Melkiset). Il a également servi à Van. L'un des fils du père Melkisetek, Anoushavan, était un membre dirigeant du parti arménien Armenakan, fondé à Van ; et plus tard membre du Parti libéral-démocrate arménien (Ramgavar).

Notre nouvel article présente l'histoire de cette famille et est rédigé par Zaroohi Der Mugrdechian, un descendant de la famille. L'article est accompagné de nombreuses photographies et documents que les membres de la famille ont pu récupérer de Van et emporter avec eux aux États-Unis.

Nous tenons à remercier Zaroohi pour sa contribution.

Voici le lien pour la page:
https://www.houshamadyan.org/oda/americas/der-mugrdechian-collection-usa.html

L'article a été traduit respectivement en arménien et en turc par Vartan Tashjian et Arlet Incidüzen.

Comité de rédaction de Houshamadyan


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और देखें et | DT

Il s'agit d'un système d'information sur les réseaux sociaux. Il s'agit d'une question de confiance et de confiance. और देखें Il s'agit d'une entreprise, d'une entreprise, d'une entreprise ou d'une entreprise. ׏קր ּׄքּքּքրրրրֺ (ۯۡրրրրֺրրրրֺրրֻրրրֻրրրֺֻ Il s'agit d'une personne qui s'est occupée de lui et qui s'en est occupée. Et puis, il y a des gens qui ont besoin d'aide. और देखें

Il s'agit d'une personne qui s'est retrouvée avec un enfant. ։ Il s'agit d'une question de temps et d'argent. Il s'agit d'une question de temps et d'argent. Et puis, il y a une différence entre les deux

Il s'agit d'un système d'exploitation pour les personnes handicapées. et

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https://www.houshamadyan.org/arm/oda/americas/der-mugrdechian-collection-usa.html

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페이지나이스 나이나
C'est une bonne idée.


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Le Mıgırdiçyan Arşivi | Fresno | ADA

Les ailes de Mıgırdiçyan Van'da bilinen bir aileydi. Der Garabed Mıgırdiçyan şehirdeki Arurats Surp Asdvadzadzin Kilisesinin pederiydi. Oğlu Mardiros da onun gibi Der Melkisetek (veya Melkiset) adıyla peder takdis edilir et Van şehrinde hizmet verir. Le Melkiset'in oğullarından Anuşavan, Van'da kurulmuş olan ve daha sonra Ramgavar Partisi'yle birleşen Armenagan Partisi'nin yetkililerindendi.

Je vous conseille de faire en sorte que vous soyez en mesure d'agir. Makalenin yazarı aile üyelerinden Zaruhi Der Mıgırdiçyan. Arşiv, ailenin Van'dan Birleşik Devletler'e getirmeyi başardığı photoğraf et belge bakımından oldukça zengin.

Zaruhi'ye gosterdiği işbirliği için teşekkür ederiz.

Lien Sayfanın :
https://www.houshamadyan.org/tur/ada/kuzey-ve-gueney-amerika/der-mugrdechian-collection-usa.html

Les Makaleleri Ermenice et Türkçeye sırasıyla Vartan Taşcıyan et Arlet İncidüzen tercüme etti.

Et je dileklerimizle,
Houshamadyan yayın ekibi


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Adana

 

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Jérusalem, 1919.

 
 

Collection Avedian | Montréal | APD

La famille Avedian est originaire d'Adana. Sa riche histoire a été préservée grâce aux mémoires inédites d'un membre de la famille, Sayeni Balian, qui comprennent une chronique de la vie de la famille, d'Adana jusqu'à son départ définitif de sa patrie.

De nombreux objets de mémoire, photographies anciennes et documents relatifs à l'histoire de la famille sont actuellement conservés à Montréal par Diran Avedian, un autre descendant de la famille.

Dans cet article, nous présentons l'histoire de la famille Avedian, qui nous emmène d'Adana à Chypre, Beyrouth, Paris, Girovagan, Montréal, Los Angeles et ailleurs. Nous tenons à remercier Diran Avedian pour son aide dans la préparation de cette page.

Voici le lien pour la page:
https://www.houshamadyan.org/oda/americas/mona-selyan-collection-i-ca/avedian-collection-ca.html

L'article a été traduit respectivement en anglais et en turc par Simon Beugekian et Sevan Deirmendjian. Nous remercions Sedat Ulugana pour la traduction des documents ottoman-turc.




De Keserig aux Etats Unis

 

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Frères Peter, Hagop, John, Dickran Yagjian. Photographie c1905 Melikian Studios, Worcester, MA.

 
 

Collection Yagjian/Yaghdjian | : Austin, Texas | APD :

Vie au pays, déportation, exil, survie…

Ce que vivent aujourd’hui les Arméniens d’Artsakh est une répétition tragique des histoires présentées dans nos archives numériques ouvertes. En cette époque d’horreur et de violence, ces récits historiques sont aussi des leçons pour préserver l’humanité et l’espoir ; et dans la lutte pour la survie et un avenir meilleur.

Il y a environ un an, Houshamadyan a publié un article intitulé Collection Yaghdjian/Yiagjian – Athènes, qui présentait l'histoire de cette famille originaire du village de Keserig/Kesig (aujourd'hui Kızılay) dans la vallée de Kharpert. Après le génocide arménien, les survivants de cette famille ont trouvé refuge en Grèce, où ils ont commencé une nouvelle vie.

Parmi ceux qui ont lu cet article se trouvait Marc Yagjian, d'Austin, au Texas. Comme les Yaghdjiens de Grèce, il est lui aussi un descendant de Hadji Ovan Yaghdjian. Pendant de nombreuses générations, Marc n'a eu aucun contact avec les autres membres de sa famille. Les nouvelles générations de Yagjians ignoraient l’existence des autres.

Le lien entre les différentes branches de la famille a été rétabli grâce à la publication de l'article de Houshamadyan sur les Yaghdjians/Yiagjians de Grèce. Cela a également donné à Marc l'occasion de rédiger un article dans Houshamadyan, qui présente l'histoire de sa branche familiale, de Keserig aux États-Unis. Nous tenons à remercier Marc pour sa contribution.

Voici le lien pour la page.
https://www.houshamadyan.org/oda/americas/yagjian/yaghdjian-coll-usa.html

L'article a été traduit respectivement en arménien et en turc par Vartan Tashjian et Arlet Incidüzen.