Une centaine d’intellectuels, académiciens, journalistes et hommes politiques turcs se joignent aux condamnations du monde à  l’endroit des politiques de l’Azerbaïdjan.

Luis Moreno Ocombo, ancien procureur en chef de la Cour pénale internationale prévient le danger d'un génocide et appelle le Conseil de Sécurité de l'ONU à  porter l'affaire devant le tribunal international. Le procureur déclare : "Il existe une base raisonnable pour croire qu'un génocide est en train d'être commis" notant qu'une convention de l'ONU définit le génocide comme incluant "l'imposition délibérée à un groupe ,des conditions de vie censées d'entrainer sa destruction physique" et  "la famine est l'arme invisible du génocide. Sans mesure immédiate, ce groupe (de l'Artsakh) sera…

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