Les dirigeants de BarakaCity dissoute en France , demandent l’asile politique en Turquie

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Idris Sihamed, le dirigeant de l'ONG " humanitaire" musulmane
BarakaCity dissoute en Conseil  des ministres français, vient de déposer
une demande  d'asile politique, pour lui et ses collaborateurs, 
auprès des autorites turques.( Le choix de la Turquie- pays garant de l'intégrité  musulmane- est un choix judicieux et de
tels postulants ne pourront recevoir un avis défavorable des
autorites turques, note du rédacteur).
 
Le porte-parole du Président R.Erdogan,  M.Ibrahim Kalin
déclare sur son compte twitt "Le terrorisme ne connait pas 
de religion (! à verifier, n.du rédacteur) de langue et de couleur. Nous
lutterons avec résolution et dans la solidarité (avec qui? ndu rédacteur)
contre toute sorte de terrorisme et d'extremisme. " @ikalin1
Mutisme chez Erdogan au sujet des décapitations de Conflans St Honorine
et de Nice.
 
Le 29 0ctobre est l'anniversaire de la proclamation de la 
République turque.
Le 28 octobre 1923 , au cours d'un diner arrosé de raki, pas au
Parlement  ni en Conseil des ministres , Mustafa Kemal annonce "Demain  nous déclarerons la Republique"
Le 28 octobre 2020, le President Erdogan aurait pu , en conseil
restreint, annoncer : "Demain nous exterminerons les Armeniens et déclarerons la faillite de la Republique laique (!)
turque".
 
Le 29 0ctobre 2020, lors des célébrations de l'anniversaire de
la République, le President R.Erdogan déclare:
"Nous avons créé une génération qui se souvient, embrasse et
découvre notre histoire (signe encourageant s'il  s'agit  de la
vrai Histoire. note du rédacteur)
……
"Je remercie tous nos soldats qui se battent heroiquement pour
l'integrite de notre pays"(lire ,pour la desintegration de l'Armenie.ndlr)
……..
"Face aux peches de l'Europe, la seule voix qui s'eleve est
celle du monde musulman."
……..
"Les gouvernements sont nos ennemis et les nations (qu'on peut compter sur les doigts d'une seule main.ndlr) sont nos amis"
 
 
Zaven Gudsuz
zaven471@hotmail.com
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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Rabha Attaf, reporter, spécialiste du Maghreb et du Moyen-Orient, avance que BarakaCity ferait du « charity-business ». S'appuyant sur le bilan 2013 de l'association, qui montre un peu plus de 3 000 000 € de recettes et un « bénéfice » de 1 900 000 , elle avance en comparaison que « les ONG sérieuses dépensent en général 85 % de leur budget »[9].

Selon Charlie Hebdo, les fonds de son association sont « considérables » : celle-ci aurait reçu, depuis 2013, 16 millions d’euros. Parmi ses soutiens financiers, le journal note des footballeurs de la Ligue 1 mais également les rappeurs Rohff ou La Fouine[10].

Affaire judiciaire

En août 2014, deux banques françaises, la Société générale et le CIC, ferment les comptes bancaires de l’ONG[2].

En février 2015, les locaux de BarakaCity à Courcouronnes sont perquisitionnés par la police[11],[12]. Le domicile d'un ancien salarié est perquisitionné en novembre de la même année. C'est la proximité de l'organisation avec les milieux salafistes qui explique cette dernière opération[3],[4]. Le 30 mai de la même année, un incendie éclate au siège de l'organisation sans faire de victimes[13].

Une nouvelle perquisition a eu lieu le dans le cadre de l’état d’urgence. Dans un document de source policière que s’est procuré le magazine L'Obs, ses membres seraient présentés comme des « musulmans fondamentalistes », qui effectueraient « régulièrement » dans le cadre de leurs activités humanitaires des voyages en Syrie, et qui pourraient détenir dans leurs bureaux « armes et stupéfiants »[14].

Affaire Moussa Ibn Yacoub

Le 22 décembre 2015, Moussa Ibn Yacoub, membre de Barakacity visite des écoles et des orphelinats et s’enquiert de la situation des Rohingyas au Bangladesh[15]. Il est arrêté et mis en détention pour utilisation de fausse identité (son nom d’usage musulman, choisi lors de sa conversion, est différent de son état-civil[16]) et pour « activités suspectes en lien avec le terrorisme »[17], mais l’association laisse entendre que l’on reprocherait plutôt sa présence auprès des Rohingyas[18],[19].

L'association cherche à le faire libérer[20],[21].

Moussa Ibn Yacoub obtient une libération conditionnelle le 1er mars suivant, grâce à un pourvoi en cassation de son avocat devant la Cour suprême de Dacca, sans jugement au fond, et avec l'interdiction de sortir du territoire[16].

Controverses

Céline Pina, conseillère régionale PS[22], dénonce leurs actions musclées au Salon de la femme musulmane de Pontoise et une stratégie marketing extrêmement efficace de la culpabilisation et du chantage affectif[23]. Elle accuse l'association de tenir un discours de guerre de civilisation « anti-occidental », lorsque son président tient ces propos : « Regardez, regardez cet enfant, regardez-le bien car ce pourrait être le vôtre, car un jour ce sera le vôtre. Les Occidentaux, c'est eux qui l'ont tué, pour le pouvoir, l'argent, le pétrole… Ils soutiennent les tyrans, ils leur vendent des bombes pour massacrer nos frères. Ils s'en moquent des enfants morts et ils se moquent aussi de toi, mon frère. Ils ne nous accepteront jamais. On est en guerre, mais toi, tu n'es pas des leurs, tu ne le seras jamais. Alors donne à la cause si tu veux que tes frères te protègent quand viendra l'orage. Car si tu les choisis, tu n'es plus notre frère. Et tu seras seul, car eux te rejetteront toujours. Et dans une guerre, quand on est seul… C'est donc seul ou avec nous. Pas d'autres choix ».

Invité dans l'émission de télévision, Le Supplément, diffusée sur Canal+ le dimanche , son leader, Idriss Sihamedi, refuse de condamner l'organisation État islamique[24],[23]. Le compte Facebook de l’ONG est « liké » par plus de 650 000 personnes[25].

Pour Bernard Godard, auteur de La Question musulmane en France, un état des lieux sans concession, BarakaCity est caractéristique de ces nouveaux acteurs de l’islam rigoriste qui « mélangent le registre humanitaire et ceux strictement religieux et purement identitaires »[12].

À la suite de l'attentat de Conflans-Sainte-Honorine, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a annoncé son intention de proposer sa dissolution en Conseil des ministres[26]. La dissolution est prononcée par le président de la République après avis du Conseil des ministres par un décret du 28 octobre 2020[27]. Cette dissolution se fonde sur les dispositions de l’article L. 212-1 du Code de la sécurité intérieure (ex-Loi du 10 janvier 1936 sur les groupes de combat et milices privées), et notamment les critères 6° (provocation à la discrimination) et 7° (provocation au terrorisme) [28]. D'après le ministre, cette association « incitait à la haine, entretenait des relations au sein de la mouvance islamiste radicale, se complaisait à justifier des actes terroristes[29] ».

Idriss Sihamedi[modifier | modifier le code]

Idriss Sihamedi

 

Biographie
Naissance
Nom de naissance
Driss YemmouVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Autres informations
Religion

Driss Yemmou, dit Idriss Sihamedi est le président et fondateur de l'association humanitaire Barakacity. Salafiste, il suscite la polémique à cause de l'opacité qui entoure le financement de son association[30],[31] et par ses prises de position, écrivant notamment : « Je pense que la musique peut être dangereuse, la polygamie une alternative contre l'adultère et le voile un signe de pudeur. Suis-je fou ? »[32].

En décembre 2014, RTL révèle qu'il est fiché par la DGSI[33],[21].

Invité dans l'émission de télévision française, Le Supplément, présenté par Ali Baddou et diffusée sur Canal+ le dimanche , il déclare que les locaux ont subi des perquisitions et pense faire l'objet d'une fiche S. Après avoir affirmé que son Organisation non gouvernementale internationale aurait levé 16 millions d'euros de dons en trois ans, ses déclarations ambiguës mettent mal à l'aise l'auditoire[34], dont la ministre de l'Éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem, présente sur le plateau[35],[36] car il refuse de serrer la main des femmes présentes. Il ne condamne pas les actes de Daesh.

Lors de la pandémie de Covid-19 de 2020, il se réjouit publiquement des mesures de distanciation sociale : c'est « la première fois de ma vie que je peux dire à une femme qui veut me serrer la main « non » dans la joie et la bonne humeur. Ça fait bizarre de voir que des choses halal deviennent normales »[37].

Le 3 septembre 2020, il se réjouit de la mort des journalistes lors de l'attentat contre Charlie Hebdo, précisant prier pour « augmenter à 2 000 degrés les flammes de leurs tombes »[38].

En octobre de la même année, les locaux de BarakaCity et le domicile d'Idriss Sihamedi font l'objet d'une perquisition. Sihamedi est interpellé et placé sous contrôle judiciaire. Il est poursuivi pour avoir harcelé sur Twitter la chroniqueuse de RMC Zohra Bitan. Il a par ailleurs, selon Charlie Hebdo, dévoilé dans une série de tweets des informations d’ordre privé au sujet de la journaliste Zineb El Rhazoui, qui a également déposé plainte[10].

source : wikipedia

 

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